Vendredi 8 juillet 5 08 /07 /Juil 15:54

 

 

Elle était à peine recouverte de sperme qu'il attrapa ses mains et les attacha à la tête du lit sans lui laisser le temps de s'essuyer. Puis il étala en douceur le sperme sur la majeure partie de son visage et se pencha pour lui parler au creux de l'oreille :

« Il va sécher et imprégner chaque pore de ta peau. Tu porteras ainsi ma marque, invisible pour tous sauf pour toi. »

Cette phrase l'excita. L'idée d'être marquée au sperme, de le sentir pénétrer sa peau la chauffait au plus haut point. Elle se mordit les lèvres et le regarda avec un sourire de salope qui l'excitait à son tour.

Puis il lui mit un bandeau sur les yeux et des bouchons dans les oreilles. Elle ne voyait plus rien, n'entendait plus rien. Elle se contentait de sentir le sperme sécher sur son doux visage. Elle profitait de ce calme après la sodomie bestiale qu'elle venait de subir. Elle finit par se demander si il était encore là.

Elle ne savait pas depuis combien de temps elle était comme ça et n'avait aucun moyen de le savoir. Puis, subitement, elle sentit sa main ouvrir ses cuisses. Il allait jouer avec elle et elle en avait très envie alors elle ouvrit les jambes en grand. A sa grande surprise elle sentit quelque chose d'inhabituel se frayer un chemin dans son sexe humide.

D'entrée de jeu elle pensa à un gode. Mais rapidement elle comprit qu'il n'en était rien. L'objet, petit et de forme ronde entra en elle. Elle n'avait jamais vu d’œuf vibrant. Elle ne pouvait donc pas savoir ce que c'était. Mais elle comprit l'utilité de cet jouet quand il le déclencha. Une douce vibration envahi son sexe et son bas ventre rapidement. L’œuf était idéalement placé, sollicitant la partie la plus innervée de son intimité.

Elle ne put retenir un gémissement de plaisir quand les vibrations démarrèrent. Elle venait de jouir, une jouissance purement mentale, elle allait maintenant pouvoir avoir un orgasme purement physique. Elle se laissait aller. Elle n'entendait rien, ne voyait rien. Ses deux seules sensations venaient du sperme imprégnant sa peau et des vibrations dans son bas ventre.

Son plaisir montait doucement. Et rapidement elle découvrit que l'objet avait plusieurs vitesses. Son Maitre s'amusait avec elle, faisant monter et descendre les vibrations. Quand elles montaient, elle sentait son plaisir monter crescendo. A deux reprises, il ramena les vibrations au minimum alors qu'elle était sur le point de jouir.

Il la torturait, mais une douce et adorable torture. Il maîtrisait son plaisir et elle comprit qu'elle ne pourrait jouir que quand il l'aurait décidé.

Elle était incapable de savoir depuis quand ce petit jeu durait mais elle était au bord de l'explosion depuis plusieurs minutes. Elle s'arc-boutait, ses jambes s'ouvraient et se serraient, son ventre se contractait sans qu'elle ne contrôle rien. Elle était bouche grande ouverte, cherchant de l'air entre deux gémissements, deux feulements de chienne en chaleur.

Les vibrations remontèrent au maximum. Elle priait pour qu'il la laisse jouir, elle avait envie de le supplier mais le masque et les bouchons d'oreilles l'en empêchait. Et de toutes manières elle était trop occupée à gémir et à chercher de l'air pour pouvoir le faire.

Son plaisir approchait du paroxysme. Elle allait jouir et fort. Rien ne pourrait l'en empêcher là. Elle allait jooouuuuiiii.............. et à cet instant la première goutte de cire brûlante tomba sur son téton droit. Cette brûlure qui disparue immédiatement faillit faire retomber son plaisir. Mais une fois la surprise passée ce fut le contraire qui se passa. La brûlure intense et éphémère déclencha son orgasme.

Elle cria son plaisir, son corps se contractant et se tordant. Et les gouttes de cire chaude qui coulèrent de ses seins à ses cuisses en pluie quasi continue ne fit que la faire jouir et hurler plus fort. Son plaisir semblait ne pas vouloir prendre fin tant que la cire coulerait sur elle. Ses seins étaient maculées de cire chaude tout comme son ventre, son nombril, son pubis, l’intérieur de ses cuisses. Elle était à deux doigts de défaillir, elle pensait qu'elle allait devenir folle quand il cessa de la torturer.

Il arrêta de la recouvrir de cire et ramena l’œuf au minimum. Il lui enleva ensuite le bandeau et les bouchons. Elle essaya de reprendre son souffle, ses esprits, de revenir sur terre tout simplement quand il retira l’œuf.

Il ne dit rien et l'approcha de ses lèvres. Elle n'eut pas besoin de se faire prier pour le lécher et le nettoyer avec sa langue, léchant chatte goutte de sa cyprine. Elle avait envie de sa queue à la place de l’œuf devant sa bouche. Elle voulait sa queue, elle avait envie qu'il la baise. Il lui donnait des orgasmes de folie et elle était devenue accroc à sa queue. Accroc à Lui. Accroc à la soumission....

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Jeudi 7 juillet 4 07 /07 /Juil 17:23

 

 

Son gland était à l'entrée de son anus qui luisait un peu du gel qu'il avait mis. Il était à peine ouvert, prêt à l'accueillir mais pas trop. Il l'avait préparé afin que ça ne soit pas trop dur pour elle mais il ne fallait pas qu'elle soit pas trop ouverte afin qu'elle comprenne la leçon du jour.

Il agrippa ses hanches fermement et commença doucement à pousser. Il l'entendit presque serrer les dents. Mais elle ne bougea pas et le laissa faire. Elle était vraiment bien serrée et il savait qu'il allait en tirer un grand plaisir. Après un petit moment son anus finit par céder et il entra progressivement en elle, la sodomisant, lui prenant sa dernière virginité avec délectation.

Il maintint une poussée constante mais pas trop violente afin d'éviter les à-coups qui lui feraient plus mal qu'autre chose. Elle se retenait de crier, il le voyait. Mais elle ne faisait rien pour se soustraire à sa prise.

Elle finit par échapper un cri qui ne souffrait d'aucune ambiguïté sur ce qu'elle ressentait. Son gland venait tout juste d'entrer. Si elle savait que c'était juste ça. Il était conscient d'être mieux monté que la moyenne et surtout bien large, ce qui lors de l'anal était encore plus conséquent. Néanmoins il avait assez d'expérience pour bien faire les choses et lui faire accepter.

Il marqua un léger temps d'arrêt, qu'elle s'habitue un peu à sa présence puis il reprit sa poussée, glissant lentement mais sûrement en elle. Ses mains vinrent agripper les draps et les oreillers au fur et à mesure de son avancée mais elle continuait à rester immobile hormis cela. Elle lâchait des cris brefs à intervalles régulier mais là encore elle ne demandait rien et surtout pas qu'il arrête.

Après de longues minutes il finit par être en entier au fond d'elle. Elle semblait sur le point de craquer, le dos tendu, la bouche ouverte, prête à le supplier d'arrêter. Heureusement pour elle il n'irait pas plus loin. Il commença doucement à reculer ce qui la relaxa et elle se détendit progressivement.

Il recula mais pas au point de sortir. Puis il recommença à pousser. Un peu plus vite maintenant qu'elle était ouverte. Et elle recommença à se crisper mais moins fort remarqua t'il. Son lent va et vient restait doux et maîtrisé. Chaque poussée lui semblait moins dure à subir et ses cris étaient maintenant entrecoupés de léger gémissement.

Progressivement il accéléra jusqu'à atteindre un bon rythme. Elle continuait de crier et de gémir tout en restant immobile, se laissant sodomiser docilement. Il avait l'impression que la douleur avait disparue et qu'à l'heure actuelle c'était juste devenu peu agréable. Il décida alors de passer à l'action pour lui faire comprendre pourquoi et comment elle allait aimer ça.

Il se pencha en avant et agrippa par les cheveux pour lui tirer violemment la tête en arrière. Le cri qu'elle relâcha à ce moment là était un mélange de surprise et de soumission. Presque un cri de soulagement. Ça devenait bestial et elle aimait cette bestialité.

Il la sodomisait maintenant franchement mais cette posture, bien tirée en arrière, preuve de soumission, lui faisait presque oublier la sensation physique. L'aspect psychologique de la sodomie commençait à lui apparaître.

Elle se sentait pleinement soumise. Le fait de ne tirer aucun plaisir physique amplifiait fortement son plaisir psychologique. La seule chose qu'elle faisait là, c'était de donner du plaisir à son Maitre. Elle servait juste à assouvir son désir à Lui. Et pas le sien. Elle se sentait vraiment chienne là et cette idée commençait à faire naître en elle un plaisir inconnu. Un plaisir qui était juste dans sa tête et pas dans son corps. Une forme de plaisir nouveau mais intense.

Ses cris laissèrent la place à de francs gémissements et quand elle l'entendit la traiter de « chienne » et lui dire qu'elle était vraiment une bonne soumise et qu'elle lui appartenait ses gémissements s'amplifièrent. Oui elle lui appartenait et elle adorait ça.

Il la sodomisait depuis de longues minutes quand il sortit de son cul. Elle essayait de se remettre de ses sensations quand il la retourna violemment sur le dos. Il releva ses jambes au maximum vers ses seins, ouvrant ainsi la voie de son cul et sans aucune forme de retenue il reprit son petit anus fortement. Il était bien ouvert maintenant et son entrée fut plus facile.

Immédiatement il rebaisa son joli cul aussi fort et son plaisir psychologique remonta à vitesse grand V. Il la regardait droit dans les yeux, avec le regard d'un prédateur devant sa proie et d'un propriétaire devant sa possession à la fois. Elle se sentait chienne comme jamais.

Il la limait fortement et elle sentait ses seins ballotter à chaque coups de reins. Il les attrapa à pleines mains tout en continuant de la sodomiser. Elle était incapable de se calmer. Elle allait jouir en étant sodomisée. Elle allait connaître le plaisir alors que la situation était humiliante et aucunement agréable physiquement. Elle allait jouir juste grâce à son statut de soumise et jamais elle n'aurait pensé que ça serait possible. 142108387160.jpg

Elle ne fit rien pour se retenir et cria son plaisir comme une folle. Ses muscles se contractèrent dont son anus ce qui l'enserra encore plus. Il faillit gicler dans son cul tellement c'était serré et bon. Son anus était déjà bien serré autour de sa verge raide, amplifiant son plaisir à lui mais là c'était exceptionnellement bon.

Il la laissa profiter de son orgasme puis il sortit de son cul et vint se placer juste au dessus de son visage. Et en quelques instants, deux long jets de sperme vinrent barrer son visage du menton au front. Le sourire qu'elle avait, heureuse d'avoir été autant soumise et heureuse de porter la marque de sa soumission en travers du visage, était rayonnant. Il était plus que son Maitre se dit elle. Il était son homme, celui à qui elle était destinée. Et son bonheur était indescriptible....

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Mercredi 6 juillet 3 06 /07 /Juil 18:13

 

 

Quand elle se réveilla le lendemain matin elle fût surprise et déçue de voir qu'elle était seule et qu'il était parti sans la déranger. Elle n'aurait pas été contre une saillie sauvage en guise de réveil. Elle se tourna vers son radio réveil pour voir l'heure et elle découvrit alors une enveloppe posée sur sa table de chevet.

Avec une impatience notable elle l'ouvrit et sortit la lettre qu'elle contenait. Elle reconnut son écriture et attaqua la lecture, son cœur s'emballant.

« Bien dormi ma soumise ? Je devais partir tôt ce matin. Mais sache que j'ai été pleinement satisfait cette nuit. En te levant tu découvriras une robe que j'ai acheté à ton intention accroché à la porte du salon. Tu la porteras pour venir chez moi vendredi soir à 20 heures. Et tu ne porteras aucun autre vêtement, que ce soit au dessus ou en dessous. Tu découvriras également une paire de chaussure qui va avec la robe et que tu mettras également pour venir. Prévois que ton week-end m'appartient donc si tu as autre chose de prévu, annule le. Inutile de prendre ton sac à main donc laisse tout chez toi. Y compris ton téléphone. A vendredi soir ma soumise. »

Elle quitta son lit précipitamment, oubliant qu'elle était nue, et se rendit dans le salon. Elle découvrit une robe d'été blanche en coton. Une robe à très fine brettelles et visiblement décolletée et courte. Elle décida de l'enfiler tout de suite pour voir ce qu'elle donnait, surtout sans sous vêtements, et alla devant la grande glace de sa salle de bain. Et immédiatement elle vit que son impression était sous la réalité.

Le décolleté était vraiment profond et en plus son dos était dénudé jusqu'au milieu. Mais ce n'était pas tout. En plus d'être très décolletée, elle était moulante. Son Maitre avait visiblement choisi une taille en dessous de la sienne dans ce but se dit elle. Sa poitrine était très largement dévoilée dans cette robe.

Mais en plus elle était courte. Elle s'arrêtait à mi cuisse environ et était assez ample. Elle se dit qu'un simple coup de vent suffirait pour dévoiler la partie la plus intime de son corps. Cette robe était extrêmement sexy tout en restant classe se dit elle. Elle s'observa sous tous les angles, se trouvant vraiment belle et attirante dans cette robe. En plus, sa blancheur immaculée lui donnait un air de petit ange. Un ange allumeur certes mais un ange quand même.

Elle était sure que tout le monde tournerait la tête sur son passage mais pour la première fois de sa vie, elle s'en moquait. Elle voulait que tout le monde la désire. Allumer tout le monde et ensuite ne s'offrir qu'à un seul. Qu'il soit le seul à profiter de tout ce que tout le monde désire ardemment.

Elle retournait dans le salon quand elle vit les chaussures. De belles chaussures avec des talon assez haut mais pas trop. Elles allaient parfaitement avec la robe, son Maitre avait raison et avait très bon goût. Elle les enfila avec la robe et retourna devant la glace. Elle se fit la remarque qu'elle n'avait pas l'habitude de marcher avec des talons de cette taille et qu'elle allait devoir s’entraîner.

Ces chaussures mettaient parfaitement ses cuisses en valeur et les galbaient de haut en bas. Elle était vraiment sublimée de la tête au pied dans cette tenue. Son Maitre savait prendre soin d'elle et elle aimait ça. A cet instant, elle décida d'en rajouter un peu. Son Maitre n'avait rien dit concernant sa coiffure et son maquillage. Alors elle allait en profiter. Elle prit immédiatement rendez vous chez son coiffeur. Puis repris le cours de sa semaine tranquillement.

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Arrivé à vendredi soir elle enfila sa tenue. Elle sortait de chez le coiffeur et sa coiffure était aérienne se dit elle. Les cheveux détachés et légèrement gonflés et ondulés. Ça la rendait encore plus désirable. Tout du moins elle l'espérait. Elle se maquilla très légèrement. Un rouge à lèvre à peine visible mais qui rendait sa bouche plus sensuelle notamment. Elle savait que son Maitre aimait le maquillage léger.

Elle s’apprêtait à sortir et à ce moment là elle se rappela qu'elle devait laisser son sac et toutes ses affaires là. Elle avait oublié ce détail. Ça aurait pu la rendre nerveuse, ça aurait dû même. Mais non. Elle avait trop envie de le voir. Et elle avait une absolue confiance en Lui. Alors elle sortit, tenant juste ses clés d'appartement à la main.

Il faisait encore jour et bon quand elle sortit de son immeuble. Et ce qui devait arriver arriva. Elle croisa plusieurs personnes sur le trajet jusque chez lui. Des hommes seuls, des femmes seules et des couples. Et leur regard à tous s'arrêtèrent sur elle. Elle sentait du désir et de l'envie dans le regard des hommes, de la jalousie dans le regard des femmes et de la gêne chez les couples. Les hommes n'osaient pas la regarder avec leur femme à côté mais leurs yeux ne pouvaient s’empêcher de glisser sur elle. Elle surprit plusieurs hommes à se retourner sur son passage.

Sentir ce désir, savoir que tous avaient envie d'elle était un aphrodisiaque puissant. Elle marcha d'un pas léger jusqu'à son domicile. Une fois en bas elle sonna à l'interphone et monta. Il l'invita à rentrer et elle vit son regard. Il avait envie d'elle. Une envie bestiale. Une envie de la prendre comme un animal. Elle était heureuse de voir qu'elle était la proie de cette bête en rut. Et elle attendait avec impatience d'être dévorée.

Elle savait ce qu'elle avait à faire. Elle s'agenouilla une fois entrée et releva ses cheveux. Il lui mit son collier autour du cou et la releva en douceur. Il l'embrassa en passant ses mains partout sur son corps, palpant ses seins, ses fesses, les malaxant. Elle sentait son désir poindre de son entrejambe et elle avait envie de s'agenouiller pour déguster son désir à pleine bouche.

Mais il la retint. Et il l'emmena devant une grande glace.

« Alors ta robe te plait ? »

« Oh oui Maitre. Merci. »

« Tant mieux. Et la couleur qu'en penses tu ? »

« Qu'elle me donne un air angélique alors que la coupe est plutôt démoniaque Maitre » lui dit elle avec un sourire mutin.

« La blancheur virginale fait toujours cet effet. Et elle était nécessaire pour le programme du jour. »

Elle ne voyait pas où il voulait en venir. Elle n'était plus vierge depuis longtemps et il le savait. Et alors elle réalisa. Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, il reprit la parole.

« Aujourd'hui je vais faire de toi une soumise à part entière. Tu vas découvrir une nouvelle chose. Aujourd'hui tu vas m'offrir ta dernière trace de pureté et m'en faire cadeau. Aujourd'hui tu vas m'offrir ton anus et je vais te sodomiser. Et tu découvriras le plaisir que ressent une soumise quand son Maitre la prend par là. »

Elle ne sut pas comment réagir. Elle savait que ce moment là viendrait. Elle en avait une certaine appréhension mais elle savait que c'était un passage obligé. Alors elle ne dit rien. Il avait dit qu'elle allait lui offrir son anus alors elle allait devoir le satisfaire et ne pas se contenter de le laisser faire. Elle devait lui offrir ce plaisir. Elle réfléchissait toujours à ça quand il la prit par la main et l'amena à la chambre.

Il la fit mettre à quatre pattes sur le lit et retroussa sa robe assez haut découvrant sa croupe. Puis il sortit du gel et commença à doucement masser son anus avec l'index, le lubrifiant ainsi. Dans le même temps il sortit son sexe et en tournant la tête elle vit qu'il était en pleine érection. Il était visiblement très excité. Et cette vue amplifia à la fois son appréhension et son désir. Elle voulait lui donner ce qu'il cherchait et en avait peur en même temps.

Quand son index entra légèrement dans son anus, elle ne put retenir un petit cri de surprise. Il continua de la doigter par la en douceur et à la lubrifier en rajoutant du gel. Puis il mit du gel sur son gland. Et il prit la parole.

« Attrape tes fesses et écarte les. »

Elle obéit sans un mot, se penchant encore plus en avant ainsi et écarta ses petites fesses en grand.

« Offre le moi maintenant. »

Elle mit quelques secondes à comprendre ce qu'il voulait dire et prit la parole.

« Je vous en prie Maitre, prenez moi par là. Je suis encore vierge par cet orifice et je vous l'offre. Je veux que vous en usiez et en abusiez pour votre bon plaisir. Je vous en prie Maitre, faites de moi une vraie soumise. Votre soumise ».

Son excitation était à son comble. Un excellent week-end se profilait....

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Mardi 5 juillet 2 05 /07 /Juil 17:09

 

 

Son Maitre n'avait pas exagéré quand il lui avait dit qu'il serait très occupé les prochains jours. Ça faisait trois jours qu'elle n'avait pas eu de ses nouvelles. Et il lui manquait. Elle avait envie de Lui. Non, elle avait besoin de Lui. Elle n'aurait jamais cru qu'elle puisse ressentir un tel manque. Son Maitre lui manquait, ce qu'il faisait d'elle lui manquait. Sa soumission lui manquait. A un point insoutenable.

C'est pourquoi elle décida de se manifester. Elle prit le temps de réfléchir sur la manière de le faire. Elle voulait lui exprimer son manque, son envie, son désir mais elle ne voulait pas le déranger ou le décevoir. Elle se décida donc pour un message court : « Maitre, j'ai envie de vous, j'ai besoin de vous sentir en moi.... Je n'en peux plus mon Maitre ».

Elle attendit près de deux heures sa réponse, nerveuse, craignant de l'avoir déçu, de l'avoir perdu. Puis sa réponse arriva. « Je ne suis pas sur de pouvoir passer te satisfaire. Va mettre la clé de ton appartement dans ma boite au lettre. Si je peux je passerai ce soir en rentrant du travail. Sinon ce week-end. »

Sa réponse la rendit heureuse, comme une petite fille un matin de Noël. Non seulement son Maitre ne semblait pas lui en vouloir mais en plus il passerai peut être ! Elle lui répondit pour signifier qu'elle allait de ce pas déposer son double de clé puis elle rentra chez elle.

L'après midi passa, légère et nerveuse à l'idée de ce qui allait peut être lui arriver ce soir. Elle était excitée comme une puce. Quand la soirée arriva elle décida de le surprendre. Elle se mit nue et resta ainsi chez elle. Pour être prête, disponible, offerte.

Ainsi nue dans son canapé, elle ne put s’empêcher de se caresser mais du se retenir plusieurs fois de jouir afin que son plaisir soit maximal quand il serait là. Car elle en était sure, il viendrait.

Les heures passèrent. Aucune nouvelle. Elle commençait à se demander si il allait venir ce soir où si elle devrait patienter jusqu'à ce week-end. Elle se retint de lui envoyer un message. Si il souhaitait la prévenir, il le ferait.

Elle ne pouvait pas se douter que tout cela faisait parti d'un plan. Son plan à Lui. Il voulait qu'elle soit suppliante, qu'elle lui demande de venir s'occuper d'elle. De faire d'elle une chienne, de la soumettre. Il voulait que son attente amplifie tout cela. Il voulait qu'elle comprenne ce qu'elle était et ce qu'il était Lui et pour ce faire il l'avait volontairement privé de son plaisir depuis plusieurs jours. Elle avait plutôt bien réagit se dit il. Ces trois jours prouvaient qu'elle était accroc mais qu'elle avait fait des efforts de peur de le décevoir.

La soirée s'étirait. Elle était nue sur son canapé depuis des heures. Le film de deuxième partie de soirée venait de se terminer. Il était plus de minuit. Il ne viendrait plus. Elle venait de le comprendre et elle décida d'aller se coucher. Elle était tellement déçue qu'après sa douche elle décida de ne pas enfiler sa nuisette et de se coucher nue. La chaleur estivale aidait à cela et elle se glissa sous les draps ainsi, avec le cœur lourd.

Elle ne mit pas longtemps à s'endormir d'un sommeil sans rêve.

A deux heures du matin, il décida qu'il était assez tard et qu'elle devait dormir. Il se rendit donc chez elle à pied. Il rentra dans son immeuble et monta à son étage. Arrivé devant sa porte, il colla son oreille contre le bois. Aucun bruit. Parfait, elle devait dormir. Très précautionneusement, il glissa la clé dans la serrure et sans un bruit il entra chez elle et referma la porte.

Il prit le temps d'écouter dans le noir. Le silence fut sa seule réponse. Un silence à peine dérangé par un bruit de respiration calme venant de la chambre dont la porte était entrouverte. Il sourit et se déshabilla entièrement dans l'entrée. Il avait déjà une demi érection quand il se dirigeait vers sa chambre à la lueur de l'écran de son téléphone.

Il poussa la porte, qui ne grinça pas, et la découvrit dans la pénombre en train de dormir sur le dos, une jambe au dessus des draps révélant qu'elle était nue. Son érection passa de partielle à franche à cet instant là. Il s'approcha silencieusement et une fois à côté d'elle il fut heureux de voir qu'elle dormait toujours profondément.

En douceur il tira le draps, révélant son corps nu. Il décida de passer à l'action alors. Il vint s'agenouiller entre ses cuisses et glissa une main contre son sexe pour le caresser. Son corps ne mit que quelques secondes à réagir et elle ne mit qu'une petite minute à se réveiller.

« Tu m'as demandé de venir te baiser, je viens te satisfaire ma soumise. »

Elle eut à peine le temps de réaliser ce qui se passait qu'il glissa sa verge tendue dans son sexe à peine préparé pour cette prise bestiale. Elle voulut allumer sa lampe de chevet mais il l'en empêcha. Son téléphone apportait une clarté blafarde qui lui suffisait.

Tout comme trois jours avant, son entrée était bestiale et brutale. Sa chatte n'était pas préparée et son introduction en elle se faisait au moyen d'une poussée puissante. Elle sentait sa queue encore mieux en elle. Aucun détail ne lui échappait. Elle échappait des petits cris tellement cette pénétration était pénible. Mais pour rien au monde elle ne lui demanderait d'arrêter. Car oui elle lui avait demandé de venir s'occuper d'elle. Et oui, elle lui appartenait et il était en droit de la prendre où, quand et comment il le voulait.

Heureusement pour elle, son sexe se lubrifia rapidement et le plaisir vint à ce moment là. Il la baisait violemment. Sans retenue. Et elle aimait ça. Elle aimait qu'il lui fasse comprendre ce qu'elle était. Sa soumise, sa chienne, sa pute. Le fait d'être prise comme ça, de nuit, en plein sommeil, de se laisser faire sans réagir. Tout cela marquait sa soumission, démontrait qu'elle lui appartenait. Car seule une soumise accepterait de se laisser faire comme ça.

Il la baisait depuis de longues minutes maintenant, agrémentant ses coups de reins de douces insultes telles que « salope » « petite chienne » « tu es MA pute » et elle prenait ses mots comme des récompenses. La luminosité venant de son téléphone rendait tout ça presque irréel. Si elle n'avait pas entendu et reconnut sa voix, elle ne pourrait pas être sur que ce soit Lui.

Il la limait sans se retenir tantôt en lui malaxant les seins, tantôt en enserrant sa gorge avec une main. Et c'est avec cette main autour de sa gorge qu'elle prit son pied. Un orgasme puissant monta de son bas ventre et traversa son corps tel une onde de choc. Elle cria son plaisir et sentit son corps se contracter. Sa chevauché bestiale ne s'arrêta pas pour autant et prolongea son orgasmes pendant un long moment. Puis il finit par sortir de sa chatte et vint se placer à hauteur de son visage et mit à tâtons sa queue sur ses lèvres.

Elle ne se fit pas prier pour ouvrir la bouche et commença à téter son gland. Et quelques secondes plus tard il se vida dans sa bouche, remplissant sa gorge et recouvrant sa langue d'un grand jet de sperme chaud dans un cri bestial. Elle continua sa tétée jusqu'à ce qu'il soit totalement vidé et avala tout.

Il ne pouvait pas voir son sourire alors elle lui dit merci. Elle attendait sa réponse quand elle sentit sa main venir autour de son cou et repousser ses cheveux. Et elle eut la meilleure réponse possible quand elle sentit le cuir de son collier sur sa peau. Elle souleva ses cheveux et l'aida à l'installer sur son cou. Il vint ensuite s'allonger à ses côtés. Elle plaça sa tête sur son épaule et s'endormit. Heureuse comme jamais elle ne l'avait été. Heureuse d'être à Lui, heureuse qu'il soit là, heureuse de passer la nuit à ses côtés...

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Lundi 4 juillet 1 04 /07 /Juil 16:03

 

 

Une fois satisfaits ils rentrèrent. Ils firent la route en sens inverse dans la tranquillité. Sa robe encore remontée jusqu'au aux hanches, ses cuisses ouvertes et sa main sur sa jambe. Elle en avait encore envie. Elle avait l'impression de sentir son foutre imprégner son sexe et cette sensation l'excitait au plus haut point.

Mais même si il ne pouvait ignorer son état au vu des œillades qu'ils échangeaient il ne fit rien. Il ne la ramena pas chez elle ce qui la déçu car elle espérait avoir une chance de l'inviter à monter. Ils se laissèrent après qu'il lui ait enlevé son collier et un baiser passionné devant son immeuble. Et elle rentra chez elle à pied.

Rapidement elle comprit pourquoi il avait fait ça. Elle sentit le sperme couler de sa fente et recouvrir l’intérieur de ses cuisses. Et elle se sentit vraiment chienne à cet instant là. Du foutre chaud, son foutre à Lui, coulait de son sexe. Si quelqu'un pouvait voir ça, il n'aurait aucun doute sur le fait qu'elle était une salope. Et son sourire ferait comprendre qu'elle aimait ça.

Une fois chez elle, elle voulut se rendre sous la douche. Mais elle décida de faire un détour avant. Elle alla s'allonger sur son lit. Et se masturba. Pour sentir son sperme chaud en elle, pour jouer avec, pour découvrir la sensation du foutre d'un homme mélangé à sa propre cyprine. Elle était tellement excité que le plaisir vint rapidement. Moins fort que celui qu'elle avait pris sur le capot peu avant, mais délectable quand même. Elle se rendit ensuite sous sa douche et le jet d'eau ne fit que rendre son plaisir plus sensuel.

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Après une bonne nuit de sommeil elle se leva pour découvrir un message sur son téléphone. Il lui indiquait qu'il allait être très occupé pendant les prochains jours et qu'il ne connaissait pas encore la date de leur prochain rendez vous. Et qu'elle était libre de faire ce qu'elle voulait.

Elle était quelque peu déçue mais ce message lui fit plaisir aussi. Car seule une soumise attendait l'accord de son Maitre pour pouvoir faire ce qu'elle voulait. Elle lui appartenait et il lui montrait. Elle lui répondit que l'attente serait longue mais qu'elle comprenait.

Après un petit déjeuner rapide elle fit un peu de ménage et ensuite elle décida d'aller profiter du beau temps au parc. Elle enfila une robe d'été légère sur un ensemble soutien gorge-shorty en dentelle noir, pris un livre et sortit de chez elle.

Elle prit le bus jusqu'au centre ville et une fois au parc elle alla s’asseoir dans l'herbe, adossée au tronc d'un arbre. Elle profita tranquillement du soleil, du chant des oiseaux et de l'odeur de la nature, heureuse de ce calme après les sensations intenses de ces derniers jours. Elle ne vit pas le temps passer et la fin d'après midi arriva rapidement.

Elle quitta le parc, non sans être allé s'acheter une glace au marchand se trouvant à l'entrée et marcha tranquillement jusqu'au bus. Elle grimpa dedans, heureuse de découvrir qu'il n'y avait que peu de monde, et alla s'asseoir au fond.

Elle rêvassait quand elle sentit quelqu'un venir s'installer à ses côtés. Et en tournant la tête elle le vit. C'était Lui, son Maitre. Vêtu d'un costume strict, sa tenue de travail certainement se dit elle. Il la regardait dans les yeux et ce regard lui fit monter une boule chaude dans le bas ventre.

« Bonjour Claire. »

« Bonjour M..onsieur » Elle avait du se retenir de l'appeler Maitre en public. Elle le vit sourire devant son hésitation.

« Ta journée a été bonne ? »

« Oui, merci et la votre ? »

« Pas vraiment. Mais nous allons arranger ça. » Là ce fut à elle de sourire sans pouvoir se retenir. Elle baissa les yeux en sentant le rouge lui monter aux joues.

Ils arrivèrent rapidement à leur arrêt. Il la prit par la main pour descendre et la tira en direction de chez elle. Il n'était pas très doux se dit elle. Il était plutôt brusque... ou bestial. Son comportement lui faisait comprendre que son envie était purement animale. Elle ne savait pas ce qui l'attendait mais ça allait être violent. Et à sa plus grande honte, cette idée ne fit qu’accroître la chaleur dans son bas ventre.

Elle ouvrit la porte de son immeuble puis ils grimpèrent jusqu'à son appartement. Une fois entré elle ferma la porte nerveusement, ne sachant pas quoi faire ensuite, comment se comporter. Il ne lui laissa pas le temps de trop stresser, la plaqua face au mur et retroussa sa robe au dessus de ses fesses.

Oui il allait être bestial. Son envie était franche et ne souffrait d'aucun contre temps. Elle savait ce qu'il voulait et décida de lui donner. Elle se pencha autant que faire se peu tant il la pressait fort contre le mur et se cambra pour bien offrir son sexe.

Elle sentit ses doigts écarter son shorty puis son sexe s'extraire de son pantalon et venir directement contre sa fente. Elle se doutait que son entrée allait être violente mais elle ne savait pas à quel point.

Il entra en elle en poussant fort, d'un seul coup de rein. Il prenait littéralement possession d'elle. Elle était à peine humide, permettant une insertion sans trop de douleur mais lui faisant découvrir de nouvelles sensations. Elle le sentait centimètres par centimètres. Elle avait l'impression de sentir chaque gonflement, chaque parcelle de la peau tendue de son sexe. Elle le sentait dans tout ces détails. Et elle adorait cette sensation bien qu'elle soit un peu douloureuse.

Il lui prit les hanches avec une main et l'autre lui tira les cheveux en arrière. Et directement il la baisa. Aucun temps mort. Il la prenait comme une chienne. Il n'avait qu'une seule envie : se vider. Elle lui servait littéralement à évacuer son stress et sa tension. Et elle allait le satisfaire. Elle gémissait comme une salope en chaleur sous chaque coups de reins et il aimait ça.

Il ne lui fallut que quelques minutes pour atteindre son plaisir et se vider en elle de nouveau. Il poussa un cri bestial à cet instant et elle fut satisfaite de l'entendre jouir bien qu'elle même n'ait pas atteint le plaisir. Mais elle ne s'en plaindrai pas. Son plaisir à Lui primait sur le sien. Et il l'avait tellement satisfait hier qu'elle ne pouvait rien dire.

Il se retira de sa fente trempée et elle se retourna pour le regarder dans les yeux avec un air mutin. Il se rhabillait déjà et la regarda avec un petit sourire satisfait.

« Merci ma soumise. J'en avais besoin. »

« De rien Maitre, je suis là pour ça. »

« C'est vrai. Malheureusement je n'ai pas le temps de rester comme je t'ai dit. J'ai un repas de travail ce soir. Il faut que je rentre me changer. Mais je te récompenserai de ta docilité et du plaisir que tu m'as procuré lors de notre prochaine rencontre. »

« Merci Maitre »

Il finit de se rhabiller et partit après un baiser passionné. Une fois seule, elle décida de passer par sa chambre avant d'aller se doucher....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
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