Lundi 18 juillet 1 18 /07 /Juil 17:24

 

Elle venait de jouir. Fortement, sous ses doigts. En se rappelant ce qu'elle venait de subir. Elle avait les yeux clos, elle essayait de reprendre son souffle avec un grand sourire. Elle fut violemment tirée de son plaisir quand il l'agrippa par les cheveux. Il la tira sans ménagement, la traînant presque au sol.

« Alors tu as aimé ça salope ? Tu vas voir si tu vas aimer la suite ! »

Il ne faisait pas semblant, il semblait vraiment énervé. Il l'amena sans ralentir jusqu'à une cave et tira une clé de sa poche. Il ouvrit la porte et la jeta brutalement par terre à l'intérieur. Elle le regarda choquée, bouche ouverte. Elle allait dire quelque chose, demander pardon même si elle ne savait pas vraiment pourquoi, quand il la gifla fortement.

« Tais toi ! N'aggrave pas ton cas. »

Il se pencha et attacha ses mains par devant à des menottes en cuir qui était posée par terre. Puis il déchira un gros lambeau de sa robe et s'en servit pour la bailloner. Elle n'osait faire quoi que ce soit, se laissant faire docilement. Elle regarda autour d'elle, découvrant une cave mesurant environ 5m2, au sol et au mur de béton nu, simplement éclairé par une lampe fixée au dessus de la porte d'entrée. Dans un coin se trouvait une caisse fermée. Elle observait les lieux quand il la tira de nouveau par les cheveux et l'obligea à se lever.

Il sortit une corde relativement épaisse de la caisse et l'attacha à l'anneau en fer reliant les deux menottes en cuir. Puis il sortit une poulie de la caisse et fit passer la corde dans le mécanisme. Et il leva les bras vers le plafond. A ce moment là elle remarqua le gros crochet métallique fixé dans le béton. Il y accrocha la poulie et vint se placer dans son dos.

Et il commença à tirer sur la corde. Ses bras se tendirent vers le plafond dans un premier temps. Puis rapidement son corps se tendit. Après deux ou trois mouvements supplémentaires, elle se retrouva presque sur la pointe des pieds. Il accrocha alors l'autre bout de la corde à un autre crochet dans un mur latéral. Puis il finit de tirer sur sa robe, la déchirant définitivement, la laissant nue, en collier, pendue au plafond et bâillonnée. Il vint alors se planter face à elle.

« Ton plaisir dépend uniquement de moi jeune soumise. Il t'es formellement interdit de te masturber. Si je décide que tu peux jouir, je te ferai jouir. Si je décide que ça n'est pas nécessaire, tu ne jouiras pas petite chienne. Et je t'interdis de te masturber en mon absence. Est ce clair ? »

Elle fit oui de la tête, réalisant alors son erreur. Elle ne savait pas ce qui l'attendait mais elle était prête à payer le prix de son erreur. Surtout qu'elle s'était déjà masturbée une fois à son insu. Elle se promit de lui avouer une fois que le bâillon aurait disparu.

Elle le vit se pencher sur la boite. Et sortir un martinet aux longues lanières en cuir. Elle faillit paniquer à l'idée de ce qui allait lui arriver. Il passa derrière elle et fit glisser les lanières le long de son dos et de ses fesses. Cette sensation serait presque excitante. Si la suite n'était pas aussi terrifiante. Puis, sans prévenir, le martinet s'abattit en claquant sur ses petites fesses.

Son corps se tendit sous la morsure du cuir. Le bâillon retint efficacement son cri. Il cingla son petit cul une seconde puis une troisième fois. Et ainsi de suite. Il ne la fouettait pas trop fort. Son but n'était pas de la blesser ou de lui laisser trop de marque. Il voulait juste lui rougir, les fesses, que ça lui brûle pour qu'elle garde un souvenir cuisant de cette leçon. Mais il ne laisserait aucune marque qui n'aurait disparut d'ici lundi matin.

Elle ne savait pas combien de fois le martinet avait zébré son petit cul quand il arrêta. Sa peau lui brûlait, elle avait les larmes au bord des yeux mais la douleur disparu et se transforma en chaleur dés qu'il s'arrêta. Il revint devant elle et pour son plus grand soulagement il posa le martinet. Et se pencha de nouveau dans la caisse. Pour en sortir une bougie et un briquet. Il alluma la bougie et lui demanda si elle se rappelait de ça.

Elle fit oui de la tête. Elle avait moins peur de la cire. Elle savait que la douleur disparaissait très vite et elle se souvint de la puissance de l'orgasme qu'elle avait ressenti sous la cire. Il la regarda en souriant et lui tira les cheveux pour lui basculer la tête en arrière. Et rapidement la première goutte de cire tomba sur le dessus de ses seins. Il la faisait littéralement couler dans un jet presque continu. Elle ferma les yeux, incapable de s’empêcher de ressentir du plaisir sous la morsure brûlante de la cire. La douleur s'estompait sur ses fesses.

Il continua un long moment, jusqu'à ce que la majeure partie de sa poitrine soit recouverte de cire séchée. Puis là encore il souffla la bougie et la rangea. Elle ramena sa tête en avant et si il n'y avait pas eu le bâillon elle l'aurait remercié. Il passa derrière elle et détacha la corde du mur. Elle sentit immédiatement la tension se relâcher sur ses bras et elle put se reposer complètement sur ses pieds.

Il donna du mou à la corde et il n'eut pas besoin de la pousser pour qu'elle tombe à genoux tellement son corps avait été éprouvé dans cette position. Il rattacha alors la corde de manière à ce que ces bras soient encore tenus au dessus de sa tête alors qu'elle se trouvait maintenant à genoux.

Il revint face à elle, déboutonna son pantalon et sortit son sexe, déjà tendu. Puis il arracha son bâillon et avant qu'elle n'ait le temps de dire quoi que ce soit il lui fourra sa queue dans la bouche. Il lui attrapa la tête à deux mains et lui baisa la bouche virilement. Elle n'avait rien à faire, elle ne pouvait rien faire pour l'aider.

Sa bouche était un trou et il s'en servait comme tel. Elle se laissait faire comme une poupée. Il baisait vraiment violemment sa petite bouche au point qu'elle eut plusieurs haut le cœur. Malgré tout il ne sortit pas de sa bouche et ralentit à peine.

« Tu es ma pute, ma chienne, MA soumise. Ne l'oublie jamais ! »

Elle ne pouvait rien répondre mais elle était pleinement d'accord avec ce qu'il venait de dire. Après un bon moment, il finit par prendre son plaisir dans sa jeune bouche, la remplissant de sperme chaud. Il continua de la baiser encore un peu puis sortit de son orifice buccal.

« Avale ! »

Elle ne se fit pas prier, avala et ouvrit la bouche ensuite pour lui montrer qu'elle avait tout ingurgité. Il se pencha sur elle, lui remis son bâillon et retourna dans son dos. Il donna encore du mou sur la corde. Suffisamment pour qu'elle puisse s'allonger. Il se pencha, sortit un flacon de la caisse et lui étala un produit sur les fesses. Qui soulagea immédiatement les morsures du martinet. Le produit soulageait sa douleur et faciliterait la disparition des zébrures rouges. Puis il sortit, la laissant seule ainsi dans le noir, dans cette cave, nue, attachée, bâillonnée et en laisse. Et à sa plus grande honte elle se surprit à désirer encore plus cet homme que jamais auparavant....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 16 juillet 6 16 /07 /Juil 22:43

Ils étaient rentrés de leur après midi shopping après avoir dîné au restaurant. Là ils étaient tranquillement sur le canapé. Lui assis et elle allongé, la tête sur ses cuisses comme il lui avait autorisé à le faire. Le film à la télé était assez naze mais elle ne le regardait que d'un œil distrait.

Elle sentit alors la bosse poindre sous le tissus de son pantalon. Il avait visiblement une envie subite. Il ne pouvait pas voir son sourire mais elle était heureuse car elle même avait envie de jouer. Elle resta sans bouger, faisant semblant de ne pas avoir remarqué. Après quelques minutes il se leva sans un mot. Elle le vit se rendre dans sa chambre et il revint rapidement. Il la regarda, allongée lascivement dans le canapé, juste vêtue de sa robe blanche et de son collier, un sourire aux lèvres.

« Lève toi, nous allons nous balader. »

Elle sauta sur ses jambes comme une petite fille joyeuse et enfila ses chaussures à talon. Ils descendirent ensuite au parking mais à sa plus grande surprise ils ne se dirigèrent pas vers sa voiture. Ils se rendaient vers les caves.

Une fois la porte d'accès aux caves derrière eux il prit un balai et le coinça de manière à empêcher l'ouverture de la porte. Ils étaient sur de ne pas être dérangés ainsi. Il la plaqua alors dos au mur et la regarda droit dans les yeux. Avec un regard de prédateur.

« J'ai envie d'une jeune vierge dans une cave. Une envie bestiale. Et je n'ai pas envie que la jeune vierge se laisse faire.»

Il attrapa alors la robe au niveau du décolleté entre ses deux seins et tira d'un coup sec, l'arrachant de haut en bas. Elle fut choquée et elle comprit immédiatement ce dont il avait envie. Elle le comprenait d'autant mieux qu'elle fantasmait sur cela depuis longtemps. Elle avait découvert sur internet que beaucoup de femmes fantasmaient sur cela.

Et même si elle en avait honte, c'était son fantasme le plus fort. Elle fantasmait sur le viol. Un viol simulé bien sur mais un viol très bien simulé. Elle sentit son excitation grimper rapidement. Elle n'eut même pas à réfléchir avant de décider de jouer le jeu. Elle en mourrait d'envie.

Il n'eut pas le temps de lâcher le tissus qu'elle se débattit et partit en courant vers le fond du couloir. Il lui laissa quelques secondes puis partit derrière elle. Il l'accula au fond du couloir et elle lui fit face, tremblante et suppliante, essayant vainement de cacher son corps avec ses mains et les lambeaux de sa robe. Elle était assise adossée au mur. C'était vraiment très crédible, hormis le léger sourire qu'elle n'arrivait pas à contenir, preuve qu'elle aimait ça.

Il s'approcha d'elle lentement en déboutonnant son pantalon.

« S'il vous plaît monsieur... pas ça... » Elle essayait de pleurer pour que tout soit plus crédible.

Quand il fut devant elle il se pencha et attrapa ses deux chevilles. Il tira fermement ce qu'il l'allongea sur le dos et finit de déchirer sa robe. Elle lâcha un « nnooonnnn » suivi d'un « pitié » très crédible. Elle le dit juste assez fort pour que le résultat soit là mais que personne ne puisse entendre par inadvertance. Ce qui se passait ressemblait trait pour trait à son fantasme. Elle jouait le rôle qu'elle voulait provoquant chez lui les réactions qu'elle désirait.

Il s'agenouilla entre ses cuisses ouvertes et elle essaya aussitôt de les fermer. Juste pour le sentir les ouvrir de force. Ce qu'il fit avant de s'allonger sur elle. Et de la prendre aussitôt. Elle était tellement excitée qu'il glissa en elle sans difficulté. Elle lâcha à nouveau un « Nnnooonnn » quand elle le sentit entrer mais son soupir de plaisir vint tout de suite la contredire.

Il la ramona directement à fond. Elle fit semblant de vouloir le repousser et il l'attrapa par les poignets. Il la défonçait sans retenue et elle avait de plus en plus de mal à cacher son plaisir. A tel point qu'à un moment ses supplications furent remplacées par des « oui » « plus fort » « encore ». Il eut envie de la ramener au scénario de départ. Il sortit d'elle et la retourna violemment à plat ventre.

Avant qu'elle ne réagisse il écarta ses petites fesses. Elle comprit ce qu'il allait faire et elle se remit à se débattre. Un peu plus fort car l'idée d'être sodomisée violemment et à sec lui faisait peur. Mais malgré tout elle ne faisait que semblant car elle avait envie de le laisser faire. Elle sentit sa queue glisser entre ses fesses et frotter contre l'entrée de son anus. Et la violente poussée qui suivit le fit entrer en elle.

Ça ressemblait vraiment fortement à son fantasme et l'acte était simulé comme jamais. Le seul détails qui changeait c'était qu'elle aimait ça et qu'elle voulait qu'il continue, bien que sa bouche dise le contraire. Elle criait et suppliait. Et il lui limait l'anus sans se retenir. Elle était tellement excitée que la douleur de cette pénétration bestiale n'était que secondaire. Elle le sentait coulisser dans son cul et elle aimait cette sensation.

Il vint mettre sa main devant sa bouche et commença à accélérer. Il lui défonçait le cul aussi fort que possible et elle fut heureuse qu'il ait mis sa main sur sa bouche car elle hurlait littéralement. Après quelques minutes d'une bestialité sans nom il se vida dans son cul avec un grand cri. Elle sentit son petit cul se faire remplir de sperme et elle faillit jouir à ce moment là. Il profita d'elles pendant quelques minutes avant de sortir de son cul.

Il se releva et admira le spectacle. Elle était à plat ventre, son cul était défoncé, sa robe était déchirée de part en part. Elle tourna la tête vers lui, les yeux rougies par les pleurs qu'elle avait simulés, au moins au départ. Elle avait aussi un grand sourire. Elle ne put s'empêcher de lui dire « merci ».

Puis elle eut une envie. Une envie honteuse. Elle avait adoré ce viol simulé, elle avait vraiment pris son pied. Mais elle n'avait pas joui. Et elle avait envie de jouir. Elle le regarda et lui demanda si elle pouvait. Il fut surpris mais lui répondit que oui.

Elle se redressa et alla s’asseoir dos au mur. Puis, dans une position d'une indécence sans nom elle ouvrit les cuisses et commença à se masturber en lui racontant qu'elle avait adoré ce qu'il avait fait et qu'elle adorait ce qu'il faisait d'elle....

142114629350.jpg

 

 

P.S : Une fois n'est pas coutume, ce texte mérite des précisions.

1-Le fantasme du viol est très courant chez les femmes. Toutes mes soumises m'ont avouées l'avoir, certaines de manières très « floue » d'autres avec beaucoup de détails « trash ».

Afin d'éviter toutes les réflexions choquées, je fournis deux liens qui prouvent cette assertion.

link

link

2-Le texte en question n'est pas une ode au viol, bien au contraire. Car l'héroïne est consentante et qu'elle y trouve du plaisir. Et que dés le départ, il bien indiqué qu'il s'agit d'un jeu entre partenaires conscient et consentant. Tout les fantasmes sont plus ou moins choquant, c'est d'ailleurs pour cela qu'il s'agit de fantasme. L'interdit est le meilleur des aphrodisiaques. J'insiste sur le point qu'il s'agit ni plus ni moins d'un jeu, d'un scénario dans lequel les deux partenaires y trouvent leur plaisir. Et en aucun cas d'un viol. Et je l'ai écrit notamment pour permettre aux femmes ayant ce fantasme de déculpabiliser et de lire leur envie dans les yeux d'une autre.

3-Le code pénal prévoit que le viol est un crime punit d'une peine de 15 ans de réclusion criminelle (voir plus selon les circonstances). Et cette peine est bien trop faible à mes yeux.

Voilà, j'espère que ces éclaircissements suffiront mais si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à me contacter et si nécessaire je ferai disparaître ce texte.

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 14 juillet 4 14 /07 /Juil 16:26

 

 

Quand elle se réveilla le lendemain matin, elle découvrit qu'il était déjà levé. Elle entendait du bruit venir de la cuisine. Après s'être étirée dans le lit, elle se leva et alla le rejoindre. Elle était nue, juste vêtue de son collier. Elle était indescente comme cela. Et quand elle passa devant la grande glace de la salle de bain elle remarqua à quel point. Et elle eut envie d'en jouer.

Il lui tournait le dos quand elle entra dans la cuisine. Il était vêtu d'un jean et d'un polo. Un sachet contenant des croissants était posés ouvert sur la table, lui indiquant qu'il était allé à la boulangerie. Une délicate attention se dit elle. A son tour d'être attentionnée et délicate.

Il se retourna et la découvrit nue. Il lui dit bonjour en souriant et la détailla de haut en bas, heureux du corps sculptural de sa soumise. Il s'arrêta sur sa poitrine sans même essayer de se cacher. Elle vit l'excitation poindre dans son regard. Tant mieux se dit elle.

Elle avança de manière sensuelle puis vint s'agenouiller devant Lui. Elle le regarda dans les yeux, lui dit bonjour en souriant puis ouvrit la bouche et tira la langue, lui expliquant sans un mot son envie. Il ne put s’empêcher de sourire en déboutonnant son pantalon.

« Tu as vraiment été une bonne soumise cette nuit. Tu mérites effectivement un cadeau. Allez déguste ta friandise. »

« Merci Maitre »

Sa queue était déjà gonflée et son gland se trouvait devant son visage. Elle attrapa sa queue et la frotta sur son visage en le regardant dans les yeux. Puis elle commença à la lécher de la base au gland. Et enfin elle l'enfila dans sa bouche bien chaude et commença sa tétée. Oh oui, elle allait le déguster. Elle prenait un vrai plaisir de le sucer de si bon matin. Elle sentait sa verge durcir dans sa bouche et sa main venir dans ses cheveux. Elle entendait son souffle s’accélérer au fur et à mesure que sa bouche faisait monter son plaisir.

Elle le suçait comme une folle et elle avait envie de le sentir gicler dans sa bouche. Elle le regardait fréquemment dans les yeux, voyant son excitation et son envie. Elle savait qu'un homme était toujours chaud au réveil. Et il lui confirma en se vidant rapidement dans sa petite bouche. Elle sentie son jus chaud recouvrir sa langue. Elle en laissa échapper quelques gouttes tellement il y en avait.

Elle le regarda ensuite dans les yeux, avala son foutre après avoir ouvert la bouche et ramassa avec les doigts les gouttes qui avaient coulées sur son menton. Et lécha ses doigts afin de ne pas en perdre. Une fois son œuvre terminée il lui dit de se lever, lui glissa un baiser sur les lèvres et ils déjeunèrent.

145923557217.jpg

***************************

Pendant leur petit déjeuner ils discutèrent à bâtons rompus. Elle lui apprit qu'elle cherchait un petit boulot d'été et qu'elle s'y était pris tard. Elle allait devoir continuer à déposer des CV cette semaine. Il lui répondit alors qu'il connaissait quelqu'un qui avait besoin d'une remplaçante pour une secrétaire. Elle lui dit qu'elle ne savait pas si elle avait les qualifications nécessaires mais qu'en tout cas elle connaissait tout les outils informatiques, ce qui était la force des gens de sa génération.

Il décrocha alors son téléphone et lui obtint un rendez vous pour lundi matin. Ça serait à elle de faire le reste. Elle le remercia et il lui demanda ensuite si elle avait des tenues qui feraient l'affaire pour ce genre de poste. Ce qui n'était pas le cas à son plus grand désarroi. Il lui dit donc qu'ils iraient faire du shopping cet après midi. Une fellation en guise de réveil et du shopping en guise d'après midi ! Une très bonne journée ! se dit elle.

La matinée passa tranquillement ensuite et après le repas ils partirent en ville. Ils prirent le bus, elle juste vêtue de sa robe blanche sans rien en dessous et lui en jean polo. Elle sentait encore le regard des hommes sur elle mais ils étaient moins insistant maintenant qu'elle était accompagnée.

Une fois en centre ville ils se dirigèrent vers une première boutique. Ils déambulèrent dans les allées et il choisit pour elle deux tailleurs jupe, trois chemisiers et un petit haut. Ils se rendirent aux cabines et elle tira le rideau après être entré dans l'une d'elles. Elle commençait ses essais quand elle eut envie de jouer comme ce matin. Elle avait envie de l'allumer, sachant qu'il y avait trop de monde pour qu'il fasse que ce soit. Mais qu'il se vengerait plus tard. Enfin elle l’espérait. Alors elle décala le rideau suffisamment pour qu'il puisse la voir. Et immédiatement elle vit son regard se glisser dans l'ouverture.

Elle enfila le premier tailleur jupe, restant nue sous la veste dont elle ne ferma pas les boutons. Puis en le regardant dans les yeux elle remonta doucement la jupe le long de ses cuisses et se tourna avant de se pencher en avant, exhibant sa croupe incendiaire dans sa direction. Elle remonta la jupe jusqu'au dessus de ses fesses et tournant la tête vers Lui elle vit qu'elle avait atteint son but.

Son regard était rivé sur son cul et elle sentait son envie d'entrer et de la baiser. Elle ferma la veste du tailleur, rabaissa la jupe et ouvrit le rideau.

« Alors, vous en pensez quoi ? » lui dit elle avec un sourire de jeune ingénue.

« Très bien je trouve. Voyons la suite. »

Elle recommença alors en enfilant le second tailleur. Puis les chemisiers. Elle les enfila sans rien d'autre et se masturbait en le regardant, lui montrant que ses doigts étaient luisant d'envie. Elle sentait qu'il était très chaud là et ça lui plaisait de le mettre dans cet état. Une fois tout ces essayages terminés elle ressortit vêtue de sa robe blanche et ils se dirigèrent vers la caisse. Au moment de payer elle se rendit compte horrifiée qu'elle n'avait pas d'argent.

Il sortit sa carte et régla tout les achats. Une fois sorti du magasin elle lui dit qu'elle le rembourserait pour tout ça. Il la regarda avec un sourire protecteur et lui dit que ce n'était pas nécessaire et que cela faisait parti de son rôle de faire ce qu'il fallait pour que sa soumise soit bien et qu'elle ait tout ce qu'il lui fallait. Elle ne savait pas quoi répondre, sachant d'instinct que ces cadeaux étaient effectivement une preuve de gentillesse et de protection et absolument pas une manière de l'entretenir au sens le plus sale du terme.

Il marchait dans la rue quand ils passèrent devant le magasin d'une célèbre marque de lingerie. Et il lui dit qu'il serait temps qu'elle était de la lingerie à la hauteur de sa beauté. Alors ils entrèrent. Là encore il choisit pour elle dans les rayons. Il choisit deux ensembles soutien gorge string en dentelle, dont un vert dont le haut était push up, un porte jarretelles avec des bas et une nuisette quasi transparente.

Elle prit tout cela et se rendit aux cabines. Où elle décida de recommencer son petit jeu. Elle commença par l'ensemble vert et se regarda dans la glace avant d'entrouvrir le rideau. Le soutien gorge était tellement push up que ses seins étaient quasiment la seule chose qu'on voyait. Quand il la vit comme cela elle comprit qu'il adorait cette ensemble. Elle joua alors un peu, son regard allait parfaitement avec la couleur de l'ensemble et les œillades qu'elle envoyait était plus que provocantes.

Elle continua ses essais, le rideau entrouvert, lui offrant ainsi plusieurs strip-tease sexy. Elle finit par le porte jarretelles. Elle n'avait jamais porté cela et elle eut quelques difficultés à attacher les bas. Une fois fait elle ouvrit pleinement le rideau, profitant du fait qu'il soit les seuls clients. Elle ne portait que le porte jarretelles et les bas. Il la découvrit ainsi vêtue et elle s'admira dans la glace. Elle vit que cet accessoire mettait en valeur ses jambes et elle était heureuse de voir ce résultat.

Tellement heureuse qu'elle ne vit pas la jeune vendeuse arriver pour voir si tout allait bien. Elle la découvrit quasi nue comme cela et parût gênée. Mais si le rouge montait aux joues de la vendeuse, ses yeux ne la quittait pas et revenait fréquemment sur ses seins. Elle était admirée par une femme et sans qu'elle ne sache pourquoi, cela lui plaisait. La vendeuse finit par s’éclipser en s'excusant et une fois rhabillée ils se rendirent à la caisse et il paya.

Une fois hors du magasin elle le remercia et lui demanda si il avait apprécié le spectacle. En guise de réponse il l'attrapa par la main et la tira vers une petite artère moins fréquentée. Il semblait chercher quelque chose et elle comprit quand il la tira vers un immeuble en travaux. Il se faufila à travers les grillages et elle en fit de même. Il l'emmena sur le chantier jusqu'à trouver un endroit à l'abri.

L'immeuble était à peine commencé. Les murs étaient montés mais les fenêtres et les portes n'étaient que des trous dans le béton. Ils étaient hors de la vue du public mais ils pouvaient distinctement entendre les gens passer et discuter à quelques mètres d'eux. Avec précipitation il lui enleva sa robe et la posa dans un sac contenant leurs achats puis il la plaqua face au mur en lui mettant une main sur la bouche.

Alors qu'elle sentait qu'il déboutonnait son pantalon il lui dit au creux de l'oreille :

« Je vais te montrer ce que je pense de ton petit jeu. »

Et elle sentit sa queue bien raide contre ses petites fesses. Il l'obligea à se cambrer et à tendre son petit cul vers lui et son gland vint se frotter contre sa chatte humide. Et d'un coup de rein il l'embrocha. Heureusement qu'il avait sa main sur sa bouche car sinon son cri de soulagement et de plaisir aurait été puissant. Le bruit d'une jeune femme en train de parler et de passer devant l'immeuble lui rappela qu'elle devait se retenir.

Il la laboura directement, la baisant tellement fort que ses pieds décollaient presque du sol à chaque coups de reins. Il la traitait de jolie petite pute, de sale chienne au creux de l'oreille et elle sentit sa main libre agripper ses seins pendant qu'il la baisait.

Elle sentait sa petite chatte en train de se faire limer et elle était excitée comme pas possible. Elle était heureuse de ce dénouement car ce qu'elle avait imaginé pendant qu'elle l'allumait dans les cabines d'essayage. Et le fait de se faire prendre comme ça, comme une salope, à quelques métres des passants sans que ceux ci ne se doutent qu'une chienne soumise était en train de se faire baiser à quelques mètres d'eux ne faisait que décupler son plaisir.

Elle serra fortement les dents pour retenir ses cris quand l'orgasme la submergea. Elle sentit ses jambes flancher à la fin de son plaisir et elle ne restait debout que grâce à ses puissants coups de reins. Il se vida en elle peu après, la remplissant de sperme dans un gémissement étouffé.

Quand il sortit de sa chatte, ses couilles bien vides, elle s'effondra au sol. Incapable de tenir debout. Elle sentait son sperme au fond d'elle. Elle était à genoux, à moitié effondré, accolé au mur. Quand elle se tourna vers lui pour le remercier elle vit sa queue au bord de son visage. Et dans un geste presque automatique, elle le prit en bouche pour le sucer et le nettoyer.

Elle dégusta le goût de son sexe sur sa verge et se délecta des dernières gouttes de sperme. Puis elle se releva, le remercia. Il lui tendit sa robe et une fois rhabillé ils retournèrent à la civilisation. Elle se surprit à lui prendre la main, comme n'importe quel couple. Et pour son plus grand plaisir, il ne lui fit pas lâcher....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 13 juillet 3 13 /07 /Juil 15:50

 

 

Ils étaient rentrés en silence. Une fois chez lui, son Maitre était allé se doucher mais lui avait refusé son plaisir. Il désirait qu'elle garde son sperme séché sur son visage le plus longtemps possible. Une fois sorti de la salle de bain il lui dit d'enlever sa robe et ils allèrent se coucher. Ensemble. Et pour la première fois elle allait dormir avec son collier.

Ils ne mirent pas longtemps à trouver le sommeil vu l'activité et les émotions de la journée. Elle était heureuse de se sentir à Lui même dans le sommeil.

En pleine nuit il se réveilla. Une envie subite. Il était tendu. Il sentait son corps chaud, souple et ferme contre le sien. Inutile de lutter. Il en avait envie alors il allait se satisfaire. Il allait la baiser sans même se soucier de la réveiller avant. Le souvenir de la dernière fois où il l'avait prise comme ça l'excita encore plus. Mais cette fois il n'y aurai pas un seul semblant de préliminaire. Il allait la prendre direct.

Il se redressa en douceur sans la réveiller et vint se mettre sur les genoux.La lueur d'un lampadaire filtrait à travers les volets, nimbant la chambre d'une lumière blafarde. Elle était sur le côté, lui tournant le dos, les jambes légèrement relevées vers son buste, offrant ainsi sa croupe et exposant son sexe. Il ne pouvait se retenir devant cette vue. Il vint placer son gland à l'entrée de sa fente et attrapa ses hanches fermement.

Il entendait sa respiration. Lente et calme. Le souffle du sommeil. Ça n'allait pas durer. Il commença alors sa poussée. Elle n'était absolument pas préparé, pas humide, pas prête à l'accueillir. Il dut pousser fort pour se frayer un passage. Son gland était à peine entrée qu'elle se réveilla. Son corps se tendit sous cette pénétration douloureuse.

Il agrippa encore plus fort ses hanches et continua sa poussée entrant lentement et difficilement en elle. Elle tourna la tête vers lui, lui lançant un regard implorant que sa bouche ne tarda pas à compléter d'un « Maaaiiitttrrreee... » qui était une vraie supplication. Il n'avait pas envie qu'elle le dérange. Son envie était purement animale. Il voulait la baiser, il voulait baiser sa femelle et elle devait se plier à son envie.

Sans qu'elle ne la vit venir, elle reçut une gifle, sèche et claquante. Elle sentit sa joue chauffer immédiatement.

« Tais toi. Je ne veux pas t'entendre, juste te baiser. »

Et ces mots furent ponctués par une poussée encore plus puissante. Il avait beaucoup de mal à entrer mais il progressait malgré tout en elle. Cette gifle la choqua. Elle serra les dents pour ne pas crier puis attrapa un coussin et le mit sur son visage pour pouvoir étouffer ses gémissements. Mais elle ne bougea pas d'un iota, le laissant faire ce qu'il voulait d'elle.

Elle le sentait entrer en elle, centimètres par centimètres. Elle se sentait chienne comme jamais. Juste une pute qu'on baise et qui se laisse faire sans opposer de résistance. Elle se sentait comme un bout de viande, un simple vide couille. Elle n'était rien de plus que le moyen de lui donner du plaisir à Lui.

Tout en le sentant entrer en elle, elle admit qu'elle était prête à ça pour le satisfaire. Si il devait l'utiliser comme un morceau de viande pour satisfaire ses besoins elle serait un bout de viande. Si il voulait qu'elle ne soit qu'un sac à sperme, elle serait un sac à sperme. Le fait d'admettre ce qu'elle était rendit la chose plus facile et elle sentit tout doucement son sexe s'humidifier et faciliter sa prise.

Il commençait à aller et venir en elle. Elle réalisa qu'en quelques jours à peine elle était passé de sage étudiante avec des envies un peu « spéciales » à morceau de viande, sac à foutre, prête à tout pour satisfaire un homme qu'elle appelait Maitre. Sa vie avait changé du tout au tout. Et pour rien au monde elle ne voulait revenir en arrière. Il avait révélé ce qui était en elle depuis toujours. Il lui avait permis d'accomplir sa destinée. Elle était destinée à lui appartenir et elle en était fière.

Elle retira le coussin de son visage, la douleur ayant presque entièrement disparue. Elle le regardait dans les yeux. Elle voulait lui montrer qu'elle était heureuse de ce qu'il faisait, qu'elle en était fière et elle voulait lui faire comprendre que si c'était ça qu'il lui faisait envie, elle l'acceptait. Elle garda malgré tout les dents serrées pour respecter son instruction de silence.

Elle remarqua son regard. Il était animal. Il ne se contentait pas de la baiser, il évacuait une pulsion. Et son corps lui servait à cela. Le voir comme cela l'excita et elle eut de plus en plus de mal à retenir ses gémissements de plaisir. Elle était vraiment devenue une pute. Prise en plein sommeil, à sec, traitée comme un simple vide couille, elle y trouvait du plaisir et elle était incapable de le cacher.

Il ne mit pas longtemps à sentir son plaisir monter et après quelques minutes de besognage intense il se vida en elle dans un cri bestial, remplissant sa petite chatte de sperme. Il lui plaça quelques derniers coups de reins puissant pour se vider jusqu'à la dernière goutte puis il sortit d'elle et vint se lover contre son dos. Sa main vint par dessus son flanc et attrapa son sein droit. Puis elle l'entendit s'endormir, visiblement satisfait et calmé. Le contraste entre ses deux moments lui plaisaient beaucoup. La tendresse suivant les pulsions animales. Elle comprenait alors qu'aussi mal qu'il la traite quand il l'utilisait pour se satisfaire, elle était sa soumise et qu'il la respecterait toujours...

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : L'art de s'offrir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 12 juillet 2 12 /07 /Juil 17:30

 

 

Il l'avait laissé attaché un petit moment, seule dans la chambre. Le sperme avait séché sur son visage. Elle attendait docilement, satisfaite du plaisir qu'elle avait pris. Il était dans le salon et elle l'entendait parler au téléphone. Elle ne comprenait pas ce qu'il disait mais la conversation ne dura pas longtemps.

Il revint ensuite et la détacha. Elle se frotta les poignets et les bras, endoloris par la posture. Il la regarda avec un sourire protecteur et lui dit en douceur :

« Nous allons sortir. Rhabille toi, coiffe toi mais ne nettoie pas ton visage. Ensuite rejoins moi dans le salon. »

Elle se leva, se rendit dans la salle de bain et commença par remettre sa robe. Elle la trouvait encore plus indécente maintenant que son visage était plein de sperme séché et que son anus avait perdu sa virginité. Elle se coiffa ensuite et elle se rendit dans le salon.

Il était assis dans le canapé. Elle se planta devant lui, juste vêtue de sa robe et de son collier de soumise. Il lui indiqua de s'agenouiller devant Lui, ce qu'elle fit.

« Nous allons dans un endroit particulier. Je vais te présenter en tant que soumise. Il y aura d'autres Maitres accompagnés de leurs soumises respectives. Tu feras ce que je te dis une fois sur place. Tu m'obéiras sans hésiter. Il ne t'arrivera rien et j'assurerai ta protection. Mais sache que je serai très déçu si tu n'obéissez pas immédiatement à mes demandes et que si jamais tu refusais d'obéir tu me perdrais. As tu compris ? »

« Oui Maitre ». Sa voix était plus assurée qu'elle ne l'était réellement. Elle allait être exhibée en tant que soumise devant des inconnus. Ça lui faisait peur. Mais elle comprenait qu'elle devait se montrer à Sa hauteur. Donc elle ferait tout ce qu'il demanderai. Il reprit la parole.

« Tu porteras ce masque pour que personne ne te reconnaisse. » et il lui montra un loup vénitien qui préserverait parfaitement son anonymat ce qui la rassura.

« Une fois ta prestation terminée, tu assisteras à une autre scène en tant que spectatrice. Et ensuite nous rentrerons. »

« Bien Maitre. »

Ils descendirent ensuite jusqu'au parking et prirent sa voiture. Ils sortirent de la ville et reprirent des petites routes de campagne de nuit. Elle se demanda si ils allaient passer prés de l'endroit où elle avait jeté sa culotte mais l'obscurité l’empêchait de reconnaître la route.

Ils ne se dirigèrent pas vers la foret cette fois-ci. Et après un long moment, ils s'engagèrent sur un chemin donnant vers une propriété agricole. Il lui tendit alors le loup et elle l'enfila. Il mit les pleins phares et elle put voir qu'ils passaient une barrière, ouverte certainement pour l'occasion, et se dirigeait vers une sorte de bâtiment en ruine.

En approchant, elle put s'apercevoir qu'il s'agissait vraisemblablement des ruines d'une vielle église en plein champ. Il fit entrer sa voiture au milieu des ruines. Et là elle vit qu'au centre des ruines se trouvait une dizaine de voiture. Disposées en cercle, leurs phares éteints tournés vers le centre.

Il prit ce qui semblait être la dernière place disponible. Une fois en place, il coupa le moteur et fit un appel de phare. Et là toutes les voitures allumèrent leurs phares, éclairant le centre du cercle comme en plein jour.

Il se tourna vers elle, lui sourit et sans un mot il descendit. Il alla lui ouvrir la portière et accrocha la laisse à son collier.

« Maintenant tu vas descendre et nous allons jusqu'au centre du cercle. »

Elle voulut répondre, mais le stress lui noua la gorge alors elle se contenta de descendre sans un mot. Il ferma la porte derrière elle et il la promena au moyen de la laisse et l'amena jusqu'au centre. Si elle n'avait pas eu peur de tomber elle aurait fermé les yeux. Elle avançait comme un robot, ignorant tout ce qui était au delà de Lui. Une fois au centre du cercle, il la fit tourner sur elle même de manière à faire face à chaque voitures pendant plusieurs secondes.

Puis il la regarda et lui dit :

« Enlève ta robe ».

Là encore, elle voulut dire quelque chose mais aucun son ne sortit de sa gorge. La panique faillit la submerger mais elle se rappela son avertissement : sache que je serai très déçu si tu n'obéissez pas immédiatement à mes demandes et que si jamais tu refusais d'obéir tu me perdrais. Alors, sans perdre une seconde, elle fit glisser les brettelles sur ses épaules puis la robe le long de son corps.

Elle était nue, au milieu d'un cercle d'inconnu. Tenue en laisse. Elle ne pourrait plus jamais nier qu'elle était une soumise et qu'elle Lui appartenait. Même si le loup préservait son anonymat, elle elle le saurait. Elle le saurait éternellement. Elle le vit sourire.

« Parfait. Suis moi. »

Et, en la promenant avec la laisse il l'amena plus près des voitures et commença à la faire évoluer lentement devant chaque véhicule. Aucun des occupants ne pouvait ignorer les détails de son anatomie. Elle entendit à plusieurs reprises des réflexions du style : « canon ! » « sacré salope » « Quelle chienne de grande classe ». Ses mots la mortifiait et lui faisait plaisir à la fois. Ils l'admiraient, ils avaient envie d'elle mais elle n'était qu'à Lui.

Elle se rappela alors qu'Il assurait sa sécurité et qu'il ne lui arriverait rien. Le tour devant les voitures lui sembla interminable mais une fois effectué, ils retournèrent au centre et sur son ordre elle enfila sa robe et ils retournèrent dans sa voiture.

Une fois à l'intérieur, il lui déposa un baiser sur les lèvres et lui dit :

« Tu as été parfaite. Bravo, je sais que ça a du être dur pour toi. Maintenant profites du spectacle. Et profites en. Si tu as des questions,tu es libre de les poser sans aucune retenue jusqu'à ce que nous quittions cet endroit. »

Elle regarda alors devant elle et elle vit un autre Maitre descendre avec sa soumise en laisse. Là aussi, elle se déshabilla. Une jolie blonde aux cheveux longs, avec moins de seins qu'elle mais très jolie. Des longues jambes surmontées d'un pubis lisse et d'un ventre plat. Elle était svelte et visiblement elle s'entretenait pour le rester. Elle devait avoir entre 25 et 30 ans se dit elle. Son visage respirait la classe et la bourgeoisie se fit elle la remarque sans vraiment savoir pourquoi. Son rouge à lèvres était était vraiment tape à l’œil par contre et lui donnait un air de pute.

Elle s'attendait à ce qu'ils fassent le tour des voitures comme eux mais non. Elle se mit à quatre pattes et elle vit alors le Maitre sortir une cravache. Et commencer à en faire usage sur son cul. Elle semblait aimer ça et avoir mal en même temps. Le visage de la soumise était tourné vers eux de telle manière qu'elle ne loupait rien de ses expressions. Et une première question lui vint à l'esprit pendant que la soumise gémissait à chaque coups de cravaches.

« Pourquoi est elle punie Maitre ? »

« Je ne le sais pas. Mais tu as raison, elle est punie. Mais tu penses qu'il n'y a que ça ? »

« Je ne sais pas. Elle semble heureuse de l'être. »

« Tu as raison. Mais le spectacle n'est pas fini. »

Ils reprirent leurs observations en silence. Le cravachage dura quelques minutes puis le Maitre fit un signe. Et là elle vit les portes des autres voitures s'ouvrir et des hommes descendre. Les autres Maitres se dit elle. Seul son Maitre ne descendit pas.

Ils vinrent l'encadrer et elle les vit sortir leurs sexes. Et elle comprit ce qu'elle allait voir : un gang bang. Le premier vint se mettre directement vers la soumise et l'empoigna par les hanches. Sans aucun forme de retenue, il la prit d'un coup de reins et commença à la baiser. Elle gémissait, bouche ouverte, quand un autre homme vint lui mettre son sexe dans la bouche pour qu'elle le suce. Elle ne se fit pas prier et le suçait avidement.

« Tu penses toujours qu'il s'agit d'une punition ? »

Elle prit le temps de réfléchir avant de répondre. Elle semblait vraiment aimer ça maintenant.

« Non Maitre. »

Son Maitre fit alors un appel de phare et tous tournèrent la tête vers eux. Le Maitre de la soumise la releva en la tirant par la laisse et l'amena vers eux. Il la pencha sur le capot de leur voiture et les hommes reprirent leur tour derrière elle. La soumise la regardait dans les yeux, à travers les ouvertures du loup et un des hommes la reprit par les hanches et la besogna immédiatement. Ses grands yeux vert étaient magnifique.

Dans le regard de la fille elle vit passer du plaisir et de la fierté. Mais elle ressenti un lien entre elles deux. Comme si elles faisaient partie d'une sorte de fraternité. Elle avait l'impression qu'elles faisaient partie toutes les deux d'une caste fermée. Cette femme était sa sœur, sa sœur de soumission et ce ressenti la troublait et la rassurait. Elle se sentait moins seule dans son statut de soumise. Elle n'avait plus aucune raison d'avoir honte de ce qu'elle était, de ce qu'elle aimait.

Sa réflexion fut interrompue par le cri guttural de l'homme qui la besognait. Elle comprit qu'il venait de se vider en elle. Et elle vit sur le visage de celle qu'elle appelait maintenant sa « soeur » passer une vague de plaisir et de contentement. Elle la vit fermer les yeux pour profiter de cette sensation. Mais elle eut à peine le temps d'en profiter qu'un autre Maitre prenait la place.

Une question lui vint alors à l'esprit.

« Maitre... je devrais passer par là moi aussi ? »

« Pas forcément. Si tu en as envie, tu connaîtras cela. Ou si j'en ai envie un jour. Mais ce n'est pas un passage obligé. Et je n'ai aucune envie de te partager quand à présent. »

« Et vous avez déjà participé à cela Maitre ? »

« Oui. Pas souvent mais oui. D'ailleurs déjà une fois avec cette soumise. »

Elle imaginait son Maitre en train de besogner cette femelle et elle imaginait le plaisir qu'elle avait du prendre. Elle était dans ses pensées quand son Maitre remonta sa robe au delà de ses hanches et lui fit ouvrir les cuisses.

La soumise violemment prise sur leur capot ne pouvait louper aucun détail de son intimité et elle ne pouvait ignorer que sa chatte était luisante d'envie. Ensuite son Maitre recula son siège, l'inclina et sortit son sexe. Puis il prit sa tête et l'attira pour qu'elle le suce, ce qu'elle fit sans se faire prier tellement elle était excitée par le spectacle.

Elle dégustait sa queue tout en tournant la tête pour ne rien louper du spectacle en cours de l'autre côté du pare brise. Elle voyait les hommes passer à tour de rôle derrière sa « soeur » devinant qu'à chaque fois il s'était vidé en elle. Son Maitre se vida dans sa bouche avant que le dernier homme ne se vide dans la femelle couchée sur le capot. Elle avala tout jusqu'à la dernière goutte et nettoya sa queue avec sa langue avant de se redresser.

Une fois le dernier homme vidé et sa « soeur » remplie de sperme, le Maitre la tira par la laisse et tout comme elle, elle se rhabillait au milieu du faisceau des phares et chacun retourna à sa voiture.

Ils quittèrent les ruines, passèrent la barrière ouverte et rentrèrent chez lui en silence. Elle avait des réflexions et des images qui lui tournaient en tête. Mais rien qui ne remette en cause son statut. Au contraire, elle ne s'était jamais sentie aussi sûre de son choix....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Derniers Commentaires

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus