Dimanche 3 juillet 7 03 /07 /Juil 17:24

Avec beaucoup de plaisir je vais pouvoir illustrer certains de mes articles de dessins érotiques de grande qualité.

Les dessins sont l'oeuvre d'Erodess (et utilisé avec son accord).

Je mets le lien vers son blog où il explique parfaitement son travail.

Merci à lui (et n'hésitez pas à commenter!)

link

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 17:27

 

 

Leur rendez vous suivant était fixé deux jours plus tard, en soirée. Sa tenue était simple : une robe noire s’arrêtant au dessus du genou, plutôt décolletée accompagnée d'un string mais sans soutien gorge. Elle sentait ses deux seins se balader sous le tissus quand elle marchait pour aller chez lui et ce frottement l'excitait. Et cette excitation était visible elle le savait. Ses deux tétons étaient bien durs et ils pointaient fortement sous la robe.

Heureusement que la nuit était déjà tombée se dit elle. De ce fait elle ne croisait personne et à moins de passer juste à côté d'elle, personne ne pourrait le voir. Ils habitaient à proximité l'un de l'autre ce qui facilitait encore les choses. Elle arriva en bas de chez lui sans s'en apercevoir presque. Elle sonna à l'interphone, il ouvrit et elle monta.

Il l'attendait au pas de la porte cette fois ci.

« Bonsoir Claire, entre ».

C'était la première fois qu'il l'appelait par son prénom et, sans savoir pourquoi, ce simple détail la fit rougir et lui donna l'impression d'être une petite fille. Elle ne put que répondre « bonsoir » et elle entra.

Il ferma la porte derrière elle. Les volets étaient fermés et l'appartement n'était que faiblement éclairé par deux lampes disposées dans deux pièces différentes. L'ambiance était clairement érotique se dit elle. Il la regarda, attendant qu'elle s'exécute et elle se rappela alors ce qu'elle devait faire.

Elle s'agenouilla, souleva ses cheveux et baissa la tête, attendant son collier. Il lui passa autour du cou et le ferma. Puis il la gifla. Surprise elle leva les yeux vers lui, et dans un regard plein de désarroi elle l'interrogea silencieusement sur ce qu'elle avait fait de mal, sur ce qui l'avait déçu. Il lui expliqua.

« Quand tu t'adresses à moi tu dois m'appeler par mon titre ma soumise. Ne l'oublie pas. »

Elle comprit ce qu'il voulait dire et lui répondit correctement cette fois.

« Oui Maitre. Je m'excuse Maitre ».

« Tu es pardonnée. Mais fait attention. Je ne suis pas n'importe qui, je suis ton Maitre. »

« Bien Maitre »

Il l'attrapa par le collier et la releva. Une fois debout il attrapa ses seins à pleine mains à travers sa robe, heureux de constater qu'elle avait respecté ses instructions et qu'elle ne portait pas de soutien gorge. Ses seins étaient tellement ferme et haut placé qu'il en avait douté en la voyant. Cette poigne ferme sur ses seins déjà tendus lui arracha un gémissement de plaisir qui le fit sourire.

Délicatement il ramena ses cheveux autour de son cou sans qu'elle ne sache pourquoi. Puis il ouvrit la porte.

« Nous sortons, suis moi. »

Elle faillit paniquer à l'idée de sortir en collier mais elle comprit alors que ses cheveux allaient le cacher. Et surtout elle ne voulait pas le décevoir de nouveau. Alors elle se força à avancer et à le suivre sur le palier. Il verrouilla la porte de son appartement et ils descendirent jusqu'au parking où se trouvait sa voiture. Il fit preuve de galanterie et lui ouvrit la porte passager. Puis il s'installa au volant et il démarra.

Elle ne savait pas où ils allaient et dut se retenir de lui demander. Elle était nerveuse et à plusieurs reprises elle dut fermer les yeux pour se calmer. Ils croisèrent plusieurs voitures en ville et deux s’arrêtèrent même à leur hauteur au feu. Elle regarda droit devant elle, se rappelant que ses cheveux cachaient son collier. Elle l'espérait tout du moins.

Rapidement ils sortirent de la ville et empruntèrent des petites routes de campagnes où ils ne croisaient personne. Elle se relaxa alors même si l'absence d'information sur leur destination l'intriguait. Une fois en pleine campagne il la regarda et lui dit d'un ton ne souffrant aucune réplique :

« Enlève ton string »

Sa voix et le ton employé refit grimper son désir et son excitation. Elle s’exécuta en douceur, voulant être sensuelle. Elle voulait l'exciter autant que lui l'excitait. Elle releva doucement le bas de sa robe le long de ses jambes et une fois remontée au maximum elle commença à faire glisser sensuellement son string. Tout en conduisant, il ne loupa pas une miette du spectacle et son regard marquait son excitation et son envie. Une fois enlevé elle le tint en l'air pour l'allumer. Elle souriait, heureuse d'elle même.

Il appuya sur le bouton d'ouverture électrique de la fenêtre passager et la descendit complètement.

« Jette le par la fenêtre »

Elle faillit protester mais le souvenir de la gifle de tout à l'heure la retint. Avec beaucoup d'appréhension elle s'exécuta. Le prix de l'objet ne la dérangeait pas, il lui avait expliqué qu'il compenserait tout ce qui serait perdu ou déchiré dans sa garde robe. C'était plutôt le fait de savoir qu'à partir de cet instant elle serait nue sous sa robe qui était elle même légère. Ce qui ne lui était jamais arrivé.

Une fois le dernier rempart de son intimité jeté sur une route de campagne sombre, il referma la vitre. Et il continua de rouler. Elle n'essaya pas de redescendre sa robe et quand il vint poser sa main sur sa cuisse nue elle se félicitât de ne pas l'avoir fait.

Sa main restait sage et se contentait d'effleurer son sexe. Ils arrivèrent ensuite dans une grande foret et il ralentit. Et il s'engagea sur un petit chemin forestier. Elle ne voyait pas où il voulait aller mais sa main et son envie suffisaient pour la calmer.

Une fois loin de la route principale il s'arrêta. Il faisait très sombre dehors même si la lune lui permettait de distinguer les arbres les entourant. La météo était clémente en ce début d'été et la température était agréable même à cette heure. Sans un mot il déboutonna son pantalon et sorti son sexe, qui était déjà bien gonflé.

Sa main quitta sa cuisse et vint se placer derrière sa tête. Elle comprit le message, se pencha sur son sexe et le prit en bouche. C'était la première fois qu'elle faisait quelque chose en extérieur. Mais elle était tellement excitée que ce détail ne la dérangeait pas. En plus, il était plus qu'improbable que quelqu'un les surprenne à cette heure ci à cet endroit. Elle le suça donc avec application et désir.

Elle sentait sa queue durcir et grossir entre ses lèvres, multipliant sa propre excitation. Sa main derrière sa tête lui donnait le rythme et la profondeur qu'il souhaitait. Et elle prenait du plaisir à lui donner ce dont il avait envie. Elle sentait son envie s'amplifier, elle l'entendait gémir de plaisir et sa prise derrière sa tête s'affermissait de plus en plus.

Elle le suçait depuis plusieurs minutes quand il la tira par les cheveux violemment en arrière. Elle se trouva bouche ouverte, la tête fortement tirée par les cheveux, un filet de salive reliant son sexe à ses lèvres. Elle remarqua son regard. Le regard d'un animal en rut, d'une bête excitée. Et cette simple vue la mit au bord de l'extase. Elle n'avait jamais vu un tel regard chez un homme, elle ne s'était jamais autant sentie désirée par un mâle. Et elle était heureuse de voir qu'elle le mettait dans cet état. Il reprit la parole :

« Descends »

Elle ne se fit pas prier et il descendit à son tour. Il l'amena devant le capot et lui enleva sa robe. Elle se trouva nue, juste vêtu de son collier, en pleine foret, de nuit, juste éclairée par la nuit. Loin de l'effrayer la situation l'excitait. Violemment, il la retourna et la coucha, poitrine collée sur le capot. Avant qu'elle n'ait le temps de faire quoi que ce soit elle sentit ses doigts s'enfoncer en elle. Et elle commença à gémir immédiatement.

Rien à voir avec son premier doigté. C'était bestial, puissant. Elle haletait, gémissant comme une folle. Elle était au bord du plaisir mais elle voulait attendre. Elle voulait sa queue. Elle voulait qu'il la prenne, la pénètre. Elle tourna la tête vers lui, le regarda et l'implorant du regard de la prendre. Il comprit le message. Et dans un sourire pervers il lui répondit :

« Si tu le veux demande le ma chienne ». Elle comprit ce qu'il voulait entendre et bien qu'elle n'ait jamais fait ça elle lui donna ce qu'il attendait de manière très naturelle.

« Baisez moi Maitre, donnez moi votre queue, s'il vous plaît. »

« Encore ! » lui dit il en agrippant par sa longue tignasse pour la cambrer au maximum.

« Je vous en prie Maitre, baisez moi, défoncez moi j'ai envie de votre queue ! » Elle le suppliait de la baiser, elle ne s'était jamais sentie aussi chienne, aussi soumise, aussi humiliée. Mais elle ne s'était jamais sentie aussi excitée non plus.

Elle senti ses doigts quitter sa chatte et sa main venir attraper sa hanche pendant que son autre main lui tirait toujours violemment les cheveux en arrière. Puis sa queue venir à l'entrée de son sexe détrempée. Et d'un violent coup de rein il s'enfonça en elle. Pas de round d'observation, il la baisa violemment d'entrée de jeu. Il la défonça à grands coups de rein, lui décollant presque les pieds du sol à chaque fois. Il la baisait comme une chienne, comme une véritable pute se dit elle. Et elle adorait ça.

Chaque coups de reins lui arrachait un cri de plaisir de plus en plus fort. Son orgasme montait très vite et il promettait d'être puissant. Il y alla de plus en plus vite et de plus en plus fort. Et rapidement elle eut son premier orgasme sur la queue d'un homme. Oubliant où ils étaient elle hurla son plaisir, agrippant comme elle le pouvait au capot de sa voiture. Elle cria son plaisir et se contorsionna pendant de très longues secondes et son plaisir commençait à redescendre quand il se vida en elle dans un grand cri bestial.

Et la sensation de son sperme qui la remplissait, sensation qu'elle n'avait jamais connue, lui déclencha un deuxième orgasme, moins fort tellement le premier l'avait vidé de toutes forces mais suffisamment intense pour le rendre délectable. Il ponctua son orgasmes de violent coup de rein permettant de se vider jusqu'à la dernière goutte en elle et se retira.

Elle faillit tomber quand il la lâcha tellement ses deux orgasmes l'avaient épuisé. Ils reprirent leur souffle et il ramassa sa robe et lui tendit. Elle la repassa sans un mot mais avec un regard lui exprimant une gratitude et une admiration immense. Elle était folle de cet homme et il le vit. Son regard exprimait qu'elle était à Lui et qu'il pourrait en faire ce qu'il voulait. Et il le comprit....

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Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 17:48

 

 

Une fois sa semence avalée elle se demanda quoi faire. Elle n'eut pas longtemps à attendre pour savoir. Il l'agrippa par les cheveux et la tira fermement pour qu'elle vienne s'allonger nue à plat ventre en travers de ses jambes. Avant qu'elle n'ait vraiment le temps de comprendre il attrapa une paire de menottes en cuir, lui mit les mains dans le dos et les attacha.

Elle se trouvait nue, en travers de ses jambes, les mains attachées. A sa merci. Et surtout très excitée. Il ne lui dit qu'un seul mot en guise d'explication : « Compte ». Elle se demande quoi compter mais là encore elle comprit rapidement. Quand sa main s'abattit fermement sur ses petites fesses blanches elle réalisa qu'elle allait être fessée. Comme elle ne réagissait pas, il lui redit de compter, plus sèchement. Alors elle s’exécutât : « Un ».

Elle ne put pas voir son sourire mais il reprit sa fessée et elle continua son décompte. Elle n'en était pas à quinze qu'elle sentait la chaleur recouvrir sa croupe. C'est à ce moment qu'il agrippa sa longue chevelure avec sa main libre et lui tira la tête en arrière. Et il continua à claquer ses petites fesses. Et elle continua à compter.

Mais son décompte ressemblait plus à un gémissement. Un gémissement de plaisir et de douleur aussi. Mais une douleur douce. Et un plaisir intense. Elle se sentait chienne. Pour la première fois de sa vie elle obtenait ce qui lui faisait tant envie sans qu'elle n'ait jamais su dire ce que c'était exactement. Maintenant elle le savait. Elle avait envie, elle avait besoin de se sentir chienne, d'être la chienne d'un homme.

Elle était à plus de 50 quand ses doigts changèrent de cible. Au lieu de s'abattre sur ses fesses, ils s'enfoncèrent dans sa petite chatte. Ils glissèrent tout seul tellement elle était excitée. Il les retira et les amena à sa bouche pour qu'elle lèche et qu'elle constate à quel point elle était chaude et trempée.

Elle les dégusta comme elle l'avait fait avec sa queue quelques minutes plus tôt. Puis sa main retourna s'abattre sur ses fesses. Elle reprit son décompte, gémissant encore plus. Elle n'en pouvait plus. Elle voulait que ça s'arrête et que ça continue à la fois. Incapable de jouir si ses doigts n'entraient pas en elle et incapable de faire baisser son excitation sous cette fessée si sensuelle.

Elle n'aurait jamais cru qu'une fessée puisse être autre chose qu'une punition. Mais elle découvrait qu'en fait une punition pouvait être agréable.

Elle avait perdu le décompte, se contentant de gémir à chaque fois que sa main claquait son cul. Ses doigts finirent par retourner en elle. Deux d'abord. Agile, précis, rapide. Sachant bien la toucher au bon endroit. Presque mieux qu'elle. Elle sentait son plaisir monter rapidement. Aussi fort et puissant qu'il y a deux soirs. Mais là elle savait à quoi s'attendre. Elle en profitait pleinement.

Elle sentit un troisième doigt entrer en elle. Son plaisir grimpa encore d'un cran. Il la doigtait fort et vite, la touchant précisément sur cet endroit précis qui la faisait jouir. Elle n'essaya pas de se retenir et libéra rapidement son orgasme.

Elle hurla son plaisir sans retenue, son corps se contracta, sa chatte se serra autour de ses doigts. Il continua de la doigter aussi fort pendant une minute, prolongeant son plaisir.

Quand il arrêta elle s'effondra littéralement sur lui, sa tête juste maintenue derrière par sa poigne dans ses cheveux. Elle essayait de reprendre son souffle. Son orgasme avait été spectaculaire et l'avait épuisé. Quand il relâcha sa tête, elle était trop fatigué pour se retenir et sa tête retomba assez lourdement contre sa cuisse.

Elle ne se rendit compte qu'il détachait les menottes que quand ses mains furent libres. Il lui caressait le dos et la croupe tendrement quand elle se redressa sur les coudes et tourna la tête vers lui. Elle lui dit la seule chose qui lui traversa l'esprit : « Merci ». Il lui répondit « De rien » dans un sourire de satisfaction. Puis il l'invita à se redresser.

Il lui expliqua qu'elle avait eu assez d'émotions pour une première et que la séance était finie. Il lui fixa son prochain rendez vous en lui précisant sa tenue. Elle était presque déçue tellement elle en voulait plus. Mais ses jambes flageolantes lui firent comprendre qu'il avait raison. Il lui enleva son collier, l'embrassa à pleine bouche et elle partit.

En rentrant chez elle, elle se mit à réfléchir. Elle était heureuse. Heureuse d'avoir trouvé un homme qui était capable de lui donner ce qu'elle cherchait, heureuse d'avoir enfin compris ce qu'elle était destinée à être. Et heureuse qu'un homme l'ait enfin fait jouir. Avec ses doigts certes, mais un plaisir tellement intense qu'elle n'osait imaginer celui que sa belle grosse queue allait lui prodiguer....

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Mardi 28 juin 2 28 /06 /Juin 17:07

 

 

Elle le regardait dans les yeux, à genoux, le regard plein de satisfaction, de désir et d'appréhension. Il la releva en douceur en tirant sur le collier et une fois debout, il l'embrassa à pleine bouche, sa langue venant rencontrer la sienne avec fougue.

Un baiser plein de passion mais pas seulement. Il y avait aussi de la possession dans ce baiser. Il prenait possession d'elle et elle s'offrait à lui. Il la serra contre lui et elle se sentit toute petite contre son corps d'homme puissant. Elle se lova contre lui, se sentant de plus en plus soumise.

Il relâcha son étreinte et s'écarta d'elle, la laissant debout. Il alla s’asseoir dans le canapé et tandis qu'il la regardait droit dans des les yeux, il lui dit : « Déshabille toi. Entièrement ».

Elle sentit son cœur s’accélérer, elle pouvait presque sentir les battements à travers sa poitrine. Elle ne le quittait pas du regard et, presque comme si ses mains ne lui appartenaient pas, elle commença à faire glisser les bretelles de sa robe. Très lentement.

Elle sentait son stress revenir à vitesse grand V. Sa respiration se mettait à accélérer tout comme son rythme cardiaque. Elle ferma les yeux, prit quelques secondes pour se recentrer et quand elle les rouvrit elle finit de faire glisser sa robe.

Elle tomba toute seule à ses pieds, la laissant simplement habillée d'un ensemble soutien gorge-string en dentelle de couleur vert assorti. Ses seins étaient cachés par sa longue chevelure et elle remarqua son regard sur sa poitrine. Elle comprit et bascula dans un geste d'une infinie féminité ses cheveux dans son dos. Révélant sa magnifique poitrine parfaitement mise en valeur dans son soutien gorge push-up.

Elle vit son sourire. Elle en était fière. Elle savait que sa poitrine plaisait particulièrement aux hommes. Tout comme beaucoup d'autres parties de son anatomie. Mais elle était encore plus heureuse que ça lui plaise à Lui. Elle le vit alors déboutonner son pantalon et sortir doucement son sexe déjà partiellement en érection.

Elle se força à ne pas regarder cette verge dont elle avait une folle envie pour continuer son travail. Doucement elle passa ses mains dans son dos et dégrafa son soutien gorge. Elle le fit tomber à ses pieds en douceur et elle n'essaya même pas de cacher ses seins de ses mains. Elle ne voulait avoir aucune pudeur, aucun secret pour Lui.

Il vit alors sa magnifique paire de sein. Ferme, haut placé. Ils bougèrent à peine quand le soutien gorge disparut. Il du se retenir de ne pas se lever pour les attraper et les lécher. Elle ne put se retenir de glisser un regard sur son sexe à ce moment là. Elle le vit durcir quasi instantanément. Et elle sourit, contente de sa réaction. En relevant son regard elle le vit sourire. Un sourire de fierté et d'envie.

Elle finit donc son travail, faisant glisser son string le long de ses jambes et découvrant son sexe parfaitement lisse, tout comme le reste de son corps. Il venait de commencer à se caresser. Elle attendait ses ordres et son regard ne quittait plus sa verge. Un sexe de bonne taille. Plus gros que ceux avec lesquels elle avait déjà joué sans être exceptionnel non plus. 18 centimètres de long sur 6 centimètres de large comme elle l'apprendrait plus tard. De quoi lui faire découvrir de nouvelles sensations. Elle rêvait à ce qu'elle ressentirait avec un engin comme celui là en elle quand son ordre suivant tomba : « Approche et agenouille toi. »

Elle avança donc de quelques pas puis elle s’exécuta, s'agenouillant entre ses jambes. Elle savait ce qui allait se passer ensuite, sa verge tendue à quelques centimètres de ses lèvres. Elle faillit se jeter dessus mais se retint à la dernière minute. Elle était devenue une soumise et devait se comporter comme tel.

« Déguste là. Et délecte toi jusqu'au bout. Jusqu'à la dernière goutte. » Elle comprit le message. Sa bouche allait recevoir du sperme. Pour la première fois. Et elle allait devoir l'avaler. Elle sentit la panique monter, ne sachant pas si elle en serait capable. Elle sembla hésiter quelques secondes et il le remarqua.

Il vint donc placer sa main derrière sa tête et appuya doucement. Ce qui lui permit de se ressaisir. Chaque chose en son temps se dit elle. Elle ouvrit ses lèvres et elle le prit en bouche. Sa bouche se referma autour de son gland et sa langue commença son travail. Elle adorait sucer et avec un engin de cette taille, elle prenait vraiment du plaisir à le faire. Elle le dégusta les yeux fermés, le faisant aller et venir dans sa bouche.

Elle montait et descendait sur sa verge, sa langue jouant partout sur sa tige et son gland. Sa main était restée derrière sa tête mais la laissait faire sans la déranger. Elle l'entendit alors soupirer d'aise et fut heureuse de lui prodiguer ce plaisir. Il aimait vraiment ce qu'elle faisait et cela lui donna envie d'en faire encore plus. Elle allait l'avaler. Elle ferait tout pour se montrer à la hauteur de cet homme, tout pour le satisfaire, tout pour devenir ce qu'il voulait qu'elle soit.

Elle sentait son plaisir monter et quand sa main se crispa derrière sa tête elle mit la dernière touche à sa fellation. Elle se préparait à son explosion quand un grand jet de sperme chaud vint lui emplir la bouche. Elle serra ses lèvres autour de sa tige et le suça plus fort pour aller chercher chaque goutte de foutre et ne pas en laisser échapper une seule. Son cri de plaisir était puissant et elle sentait chaque muscle de son corps se tendre. Quand son plaisir se mit à redescendre elle retira précautionneusement sa bouche et fit attention à ce que rien ne lui échappe.

Le goût dans sa bouche n'était pas désagréable sans être bon non plus. Elle pourrait avaler sans problème. Elle releva son visage et le regarda dans le blanc des yeux. Elle voulu ouvrir la bouche pour lui montrer son sperme comme elle l'avait vu sur des vidéos mais elle n'y arriva pas. Alors elle se contenta d'avaler en le regardant droit dans les yeux. Puis elle ouvrit la bouche avec un sourire, fière d'elle et en voyant son regard elle comprit ce qu'elle était. Une soumise. Sa soumise. Et qu'elle ferait tout pour que jamais cela ne change...

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Dimanche 26 juin 7 26 /06 /Juin 19:45

 

Il l'attendait donc. Il avait été surpris par son message de la veille. Non pas par la proposition de passer au réel mais par sa rapidité. Il était suffisamment expérimenté pour savoir que ça ne signifiait pas que tout était gagné. Son stress allait être très important et risquait de la bloquer. Il allait devoir l'aider à le gérer. Il était néanmoins sur qu'elle allait venir.

Il était donc là dernière sa fenêtre, guettant son arrivée. Il l'avait vu en photo, une photo d'identité presque, et savait qu'elle était très jolie. Même si elle ne le savait pas. Grande, fine avec de longues jambes et de belles formes. Elle lui avait dit qu'elle faisait un joli 90C et qu'elle portait en général du 36/38 en pantalon. Ses longs cheveux bruns et lisse encadrait un visage harmonieux aux traits fins et ses yeux verts finissaient de lui donner un air de douceur et d’innocence qui le faisait craquer.

Il finit par la voir approcher. Elle marchait d'un pas décidé, ce qui le surprit. Elle avait visiblement respecté ses instructions concernant sa tenue : une robe bleue assez légère s’arrêtant quelques centimètres au dessus du genoux. Elle était moyennement décolleté mais le soutien gorge push up qu'il avait demandé mettait parfaitement en valeur sa poitrine qui semblait légèrement trop serré dans cette robe.

Arrivée en bas de son immeuble, elle leva les yeux. Et là il vit son stress. Son regard semblait tellement apeuré qu'il craint l'espace de quelques instants qu'elle fasse demi-tour. Mais elle se reprit et avança vers la porte d'entrée. Son interphone buzza et il déverrouilla la porte. Rapidement il l'entendit monter les escaliers. Son pas était lent, visiblement le stress continuait de grimper.

Il était au premier étage et il n'y avait qu'un seul appartement par étage donc elle ne pouvait se tromper de porte. Il attendait encore. Il voulait qu'elle frappe elle même. Après de longues secondes elle se décida. Un « toc toc » discret se fit entendre. Il ouvrit la porte et la regarda en souriant. En le voyant elle baissa les yeux et du prendre quelques secondes pour calmer sa respiration avant de les relever.

Il la regardait d'un sourire protecteur et compréhensif et elle sentit la confiance remplacer doucement la peur. D'une voix douce il l'invita à entrer. Elle s'arrêta dans l'entrée, ne sachant quoi faire. Elle savait pourtant. Il lui avait tout dit hier soir. Mais tout se mélangeait dans sa tête. Il le vit et toujours en douceur il l'invita dans le salon et lui indiqua le canapé. Elle venait à peine de s’asseoir qu'il lui servit un verre de jus d'orange.

Ce qui eut pour résultat de la calmer et de lui redonner quelques forces. Quand elle réussit à reprendre le contrôle d'elle même il était assis là, sur le canapé. Proche d'elle mais pas au point de la toucher. Il la laissait respirer tout en étant près d'elle.

Pendant quelques minutes ils parlèrent de tout et de rien, de la météo, de ses études, de son travail. Comme si il n'était pas un Maitre et qu'elle n'était pas là dans le but de devenir sa soumise. Mais cette discussion avait l'avantage de tout rendre plus réel, plus palpable pour elle. Et de la mettre en confiance. Elle réussissait à remettre de l'ordre dans ses idées. Et elle se rappela ce qu'il lui avait expliqué hier.

« A un moment je te demanderai de choisir. Si tu décides de devenir ma soumise tu t'agenouilleras et tu relèveras tes cheveux en signe de soumission. Je te poserai ton collier et tu seras alors Mienne. Je ne te poserai cette question qu'une seule fois et si tu refuses de le devenir, nous nous dirons adieu. »

Maintenant qu'elle s'en souvenait, elle n'avait plus que cette image en tête : elle à genoux, cheveux relevés, attendant son collier. Elle ne suivait plus la conversation, ne répondant que de manière distraite. Elle se demandait à quoi bon attendre. Cet homme était tout ce qu'elle attendait depuis si longtemps. Expérimenté, protecteur, sur de lui. En plus son regard l’envoûtait littéralement et sa voix lui faisait un effet incroyable comme elle avait pu le constater il y a deux nuits.

Alors sans un mot elle se leva. Elle vit la surprise dans ses yeux. Il se demandait ce qu'elle avait en tête et quand il le comprit, il ne put se retenir de sourire. Elle vint se placer face à lui, s'agenouilla et, en baissant la tête, releva ses cheveux.

Il faillit lui demander si elle était sûre d'elle. Mais il s'abstint. Mettre un doute un tel acte et l'assurance qu'il avait lu dans son regard avant qu'elle ne s'agenouille aurait été insultant. Alors sans un mot il se leva et alla chercher son collier. Un collier en cuir noir classique. Il caressa son cou en douceur et ce contact la fit frissonner. C'était la première fois qu'il la touchait. Et cet acte était à la fois tendre et dominateur.

Puis il passa le collier autour de son cou et le ferma. Elle prit une grande respiration et releva les yeux vers lui. En le regardant droit dans les yeux elle ne put s’empêcher de sourire. Et une réflexion lui vint en tête. Incongrue. Ou peut être pas. « C'est donc ça ce que les chenilles ressentent quand elles se réveillent en papillon. »...

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