Lundi 18 juillet 1 18 /07 /Juil 17:24

 

Elle venait de jouir. Fortement, sous ses doigts. En se rappelant ce qu'elle venait de subir. Elle avait les yeux clos, elle essayait de reprendre son souffle avec un grand sourire. Elle fut violemment tirée de son plaisir quand il l'agrippa par les cheveux. Il la tira sans ménagement, la traînant presque au sol.

« Alors tu as aimé ça salope ? Tu vas voir si tu vas aimer la suite ! »

Il ne faisait pas semblant, il semblait vraiment énervé. Il l'amena sans ralentir jusqu'à une cave et tira une clé de sa poche. Il ouvrit la porte et la jeta brutalement par terre à l'intérieur. Elle le regarda choquée, bouche ouverte. Elle allait dire quelque chose, demander pardon même si elle ne savait pas vraiment pourquoi, quand il la gifla fortement.

« Tais toi ! N'aggrave pas ton cas. »

Il se pencha et attacha ses mains par devant à des menottes en cuir qui était posée par terre. Puis il déchira un gros lambeau de sa robe et s'en servit pour la bailloner. Elle n'osait faire quoi que ce soit, se laissant faire docilement. Elle regarda autour d'elle, découvrant une cave mesurant environ 5m2, au sol et au mur de béton nu, simplement éclairé par une lampe fixée au dessus de la porte d'entrée. Dans un coin se trouvait une caisse fermée. Elle observait les lieux quand il la tira de nouveau par les cheveux et l'obligea à se lever.

Il sortit une corde relativement épaisse de la caisse et l'attacha à l'anneau en fer reliant les deux menottes en cuir. Puis il sortit une poulie de la caisse et fit passer la corde dans le mécanisme. Et il leva les bras vers le plafond. A ce moment là elle remarqua le gros crochet métallique fixé dans le béton. Il y accrocha la poulie et vint se placer dans son dos.

Et il commença à tirer sur la corde. Ses bras se tendirent vers le plafond dans un premier temps. Puis rapidement son corps se tendit. Après deux ou trois mouvements supplémentaires, elle se retrouva presque sur la pointe des pieds. Il accrocha alors l'autre bout de la corde à un autre crochet dans un mur latéral. Puis il finit de tirer sur sa robe, la déchirant définitivement, la laissant nue, en collier, pendue au plafond et bâillonnée. Il vint alors se planter face à elle.

« Ton plaisir dépend uniquement de moi jeune soumise. Il t'es formellement interdit de te masturber. Si je décide que tu peux jouir, je te ferai jouir. Si je décide que ça n'est pas nécessaire, tu ne jouiras pas petite chienne. Et je t'interdis de te masturber en mon absence. Est ce clair ? »

Elle fit oui de la tête, réalisant alors son erreur. Elle ne savait pas ce qui l'attendait mais elle était prête à payer le prix de son erreur. Surtout qu'elle s'était déjà masturbée une fois à son insu. Elle se promit de lui avouer une fois que le bâillon aurait disparu.

Elle le vit se pencher sur la boite. Et sortir un martinet aux longues lanières en cuir. Elle faillit paniquer à l'idée de ce qui allait lui arriver. Il passa derrière elle et fit glisser les lanières le long de son dos et de ses fesses. Cette sensation serait presque excitante. Si la suite n'était pas aussi terrifiante. Puis, sans prévenir, le martinet s'abattit en claquant sur ses petites fesses.

Son corps se tendit sous la morsure du cuir. Le bâillon retint efficacement son cri. Il cingla son petit cul une seconde puis une troisième fois. Et ainsi de suite. Il ne la fouettait pas trop fort. Son but n'était pas de la blesser ou de lui laisser trop de marque. Il voulait juste lui rougir, les fesses, que ça lui brûle pour qu'elle garde un souvenir cuisant de cette leçon. Mais il ne laisserait aucune marque qui n'aurait disparut d'ici lundi matin.

Elle ne savait pas combien de fois le martinet avait zébré son petit cul quand il arrêta. Sa peau lui brûlait, elle avait les larmes au bord des yeux mais la douleur disparu et se transforma en chaleur dés qu'il s'arrêta. Il revint devant elle et pour son plus grand soulagement il posa le martinet. Et se pencha de nouveau dans la caisse. Pour en sortir une bougie et un briquet. Il alluma la bougie et lui demanda si elle se rappelait de ça.

Elle fit oui de la tête. Elle avait moins peur de la cire. Elle savait que la douleur disparaissait très vite et elle se souvint de la puissance de l'orgasme qu'elle avait ressenti sous la cire. Il la regarda en souriant et lui tira les cheveux pour lui basculer la tête en arrière. Et rapidement la première goutte de cire tomba sur le dessus de ses seins. Il la faisait littéralement couler dans un jet presque continu. Elle ferma les yeux, incapable de s’empêcher de ressentir du plaisir sous la morsure brûlante de la cire. La douleur s'estompait sur ses fesses.

Il continua un long moment, jusqu'à ce que la majeure partie de sa poitrine soit recouverte de cire séchée. Puis là encore il souffla la bougie et la rangea. Elle ramena sa tête en avant et si il n'y avait pas eu le bâillon elle l'aurait remercié. Il passa derrière elle et détacha la corde du mur. Elle sentit immédiatement la tension se relâcher sur ses bras et elle put se reposer complètement sur ses pieds.

Il donna du mou à la corde et il n'eut pas besoin de la pousser pour qu'elle tombe à genoux tellement son corps avait été éprouvé dans cette position. Il rattacha alors la corde de manière à ce que ces bras soient encore tenus au dessus de sa tête alors qu'elle se trouvait maintenant à genoux.

Il revint face à elle, déboutonna son pantalon et sortit son sexe, déjà tendu. Puis il arracha son bâillon et avant qu'elle n'ait le temps de dire quoi que ce soit il lui fourra sa queue dans la bouche. Il lui attrapa la tête à deux mains et lui baisa la bouche virilement. Elle n'avait rien à faire, elle ne pouvait rien faire pour l'aider.

Sa bouche était un trou et il s'en servait comme tel. Elle se laissait faire comme une poupée. Il baisait vraiment violemment sa petite bouche au point qu'elle eut plusieurs haut le cœur. Malgré tout il ne sortit pas de sa bouche et ralentit à peine.

« Tu es ma pute, ma chienne, MA soumise. Ne l'oublie jamais ! »

Elle ne pouvait rien répondre mais elle était pleinement d'accord avec ce qu'il venait de dire. Après un bon moment, il finit par prendre son plaisir dans sa jeune bouche, la remplissant de sperme chaud. Il continua de la baiser encore un peu puis sortit de son orifice buccal.

« Avale ! »

Elle ne se fit pas prier, avala et ouvrit la bouche ensuite pour lui montrer qu'elle avait tout ingurgité. Il se pencha sur elle, lui remis son bâillon et retourna dans son dos. Il donna encore du mou sur la corde. Suffisamment pour qu'elle puisse s'allonger. Il se pencha, sortit un flacon de la caisse et lui étala un produit sur les fesses. Qui soulagea immédiatement les morsures du martinet. Le produit soulageait sa douleur et faciliterait la disparition des zébrures rouges. Puis il sortit, la laissant seule ainsi dans le noir, dans cette cave, nue, attachée, bâillonnée et en laisse. Et à sa plus grande honte elle se surprit à désirer encore plus cet homme que jamais auparavant....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
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