Mercredi 20 juillet 3 20 /07 /Juil 16:35

 

Elle s'endormit rapidement, à même le béton nu de cette cave. Le fait d'être attachée et bâillonnée l'avait moins dérangé que prévu. Les émotions l'avaient épuisée et elle était tombée de fatigue. Quand elle ouvrit les yeux elle était toute seule. Elle n'avait aucun moyen de savoir quelle heure il était. Le noir était total.

Heureusement, elle vit la porte s'ouvrir rapidement. Il alluma la lumière ce qui l'aveugla brièvement. Puis elle le vit distinctement. Elle réussi à s’asseoir pour l'accueillir.

« Bonjour Claire »

Sans un mot de plus il lui détacha les mains et lui enleva son bâillon.

« Bonjour Maitre »

« Lève toi et retourne toi. »

Elle le fit sans se faire prier. La peau de ses fesses lui tirait un peu mais elle ne ressentait aucune douleur. Il appuya sur son dos pour l'obliger à se pencher en avant et elle ferma les yeux, s'attendant à ce qu'il la prenne par les hanches et la pénètre. Cette image lui donna envie qu'il le fasse. Et que ça soit brutal.

Mais à sa plus grande surprise elle le sentit étaler la même lotion qu'hier soir sur ses fesses. Délicatement. Pour la soigner. Même si ses petites fesses étaient à peine rosée, la crème lui apportait un soulagement non négligeable. Une fois terminé, il lui tendit un long manteau.

« Mets ça. Nous remontons. »

Elle enfila le manteau et ils sortirent des caves. Ils retournèrent chez lui sans croiser personne. Une fois la porte de son appartement fermé derrière eux il lui enleva le manteau, la laissant nue, juste porteuse de son collier. Il glissa un doigt dans l'anneau du collier et la tira ainsi jusqu'à la chambre.

« Allonge toi et écarte les cuisses » lui dit il en désignant le lit du menton.

Elle obéit prestement, heureuse de l'idée qu'il allait enfin la prendre. Là encore, elle fut déçue.

« Masturbe toi. »

Elle le regarda interloquée et malgré sa déception elle s’exécutât. Ses doigts commencèrent à glisser entre ses cuisses et à atteindre sa petite fente à peine humide. Elle ferma les yeux, se rappelant ses meilleurs moments de plaisirs. Ils avaient tous un point commun : elle les avaient pris avec cet homme. Ou plus exactement, c'était lui qui lui avaient donnés.

Rapidement, sa petite chatte s'humidifia et la chaleur envahit son bas ventre. Elle ouvrit les yeux à plusieurs reprises pour voir qu'il avait sorti sa queue, qu'elle était bien raide. Elle avait envie de cette queue, elle voulait qu'il la défonce, qu'il lui rappelle qu'elle était à Lui, qu'elle était Sa chienne, Sa pute, Sa propriété, Son sac à sperme...

Le plaisir commençait à poindre. Son bas ventre se contractait et ses jambes s'ouvraient et se fermaient de manière incontrôlable. Elle s'apprêtait à jouir, les yeux fermés, prête à profiter de son plaisir. La gifle qu'elle reçut alors la stoppa.

« Arrête toi. Je ne t'ai pas autorisé à jouir. »

Elle se stoppa instantanément, retirant vivement ses mains de son bas ventre prêt à exploser. Il la regarda sans rien dire. Elle sentait l'envie que son corps lui donnait et elle voyait qu'il résistait contre une envie bestiale de la prendre. Ce silence dura plusieurs minutes. Son désir descendait, son bas ventre refroidissait. Elle ne savait pas quoi faire alors elle se contenta de ne rien faire.

Quand il la jugea assez refroidie il reprit la parole.

« Recommence. Et plus fort »

Elle ne se le fit pas dire deux fois et reprit là où elle s'était arrêtée. Ses doigts ne se contentèrent plus de jouer sur son bouton de plaisir. Ils s'introduisaient en elle. Rapidement, le plaisir revint et son corps recommença à perdre le contrôle. Et là encore, au bord de l'orgasme il l'arrêta.

Elle était très frustrée. Mais elle obéit. Et se mit à réfléchir. A ce qu'il voulait qu'elle comprenne. A ce qu'il lui avait dit hier. Il voulait quelle comprenne que sans son accord elle n'avait pas le droit de se masturber et de jouir. Elle le comprenait parfaitement maintenant. Et, une fois bien redescendue, quand il lui dit de recommencer, elle sut quoi faire.

Elle se masturba franchement, gémissant, se tordant sous l'introduction de ses doigts et leurs passages sur son clitoris. Elle sentait le plaisir revenir et alors elle ouvrit les yeux. En le regardant dans les yeux afin qu'il voit son état et sa frustration, elle retira d'elle même ses mains de son entre cuisses. Ses mains tremblaient tellement elle en avait envie, tellement elle avait envie de jouir. Mais elle tint bon et réussit à se calmer.

Elle le vit alors sourire, fier d'elle. Elle avait compris la leçon. Il s'approcha, l'embrassa à pleine bouche et lui passa les menottes en cuir aux poignets. Il attacha ses deux mains à la tête du lit et vint s'allonger à côté d'elle.

Et ce furent ses doigts à Lui qui glissèrent entre ses cuisses. Il commença à la caresser doucement puis de manière plus insistante. Le plaisir n'était pas très loin et il repointât son nez rapidement. Elle haletait la bouche grande ouverte entre deux gémissement quand il reprit la parole.

« Tu as compris ? Tu n'as pas le droit de te masturber sans mon accord. Tu n'as pas le droit de jouir si je ne t'y ai pas expressément autorisé. C'est compris Claire ? »

Elle ne put que souffler un « Ouuuiii » entre deux respiration en guise de réponse. Ses doigts étaient presque plus précis et plus agiles que les siens.

« Si tu veux te masturber, tu dois me le demander et si tu n'a pas mon accord tu ne dois rien faire. Et si je t'interdis de jouir quand je m'occupe de toi, tu dois te retenir. C'est compris ? »

Le « Ooouuuiii » qu'elle échappa fut plus fort que le précédent, signe que le plaisir était proche. Il retira alors ses doigts. Elle tourna les yeux vers Lui. Frustrée et suppliante. Elle n'osa pas lui dire quoi que ce soit. Elle était son jouet, elle l'avait accepté et elle devait se comporter comme tel.

Il la laissa comme ça pendant plus d'une demi heure sans la toucher pour qu'elle redescende complètement puis il recommença. S'arrêtant de nouveau juste avant qu'elle ne jouisse. Son plaisir montait de plus en plus vite à chaque fois. Il recommença ce petit jeu deux autres fois. Elle était à deux doigts de hurler la dernière fois. Quelques secondes de plus et elle n'aurait pas pu se retenir de crier son plaisir sous ses doigts.

Il la regarda en souriant, visiblement fier de lui. Et l'abandonna seule sur le lit, attachée. Le réveil lui appris qu'ils étaient en fin de matinée. Elle était chaude comme jamais. Elle était sure qu'elle allait jouir au prochain passage. Elle ne pourrait pas se retenir. Mais son attente fut longue. Il ne revint que 90 minutes plus tard. Elle était totalement refroidie. L'ennui s'était chargé de la calmer.

Quand elle le vit arriver le sexe sorti et bien raide elle ne sut pas à quoi s'attendre, tellement il avait joué avec elle. Il s'agenouilla alors entre ses deux cuisses ouvertes et elle comprit qu'il allait la prendre.

Elle lui sourit et tourna son bassin pour faciliter son entrée, heureuse de ce qui allait se passer.

« Je vais te baiser. Je t'interdis de jouir. Si tu sens le plaisir venir tu dois me prévenir. C'est compris ? »

« Oui Maitre » répondit elle alors qu'elle était totalement décontenancé par cette annonce. Comment allait elle faire ? Ses réflexions furent interrompues par son entrée en elle. Elle était encore assez humide pour qu'il glisse sans problème. Il ne s'était pas moqué d'elle : il la baisait d'entrée de jeu à grands coups de reins.

La sensation de sa queue glissant en elle, la défonçant, la limant sans retenue fit revenir le plaisir à vitesse grand V. Elle dut serrer les dents et imaginer autre chose pour s’empêcher de jouir sans avoir à lui dire qu'elle allait lâcher. Heureusement pour elle, il était très excité lui aussi et il lui fallut moins de 10 minutes pour remplir sa chatte de sperme dans un grand cri. Il se vida avec des derniers coups de reins puissant, lui remplissant la fente jusqu'au fond. Puis il sortit, vint mettre sa queue dans sa bouche et elle la nettoya consciencieusement.

Ensuite il détacha ses mains et l'amena doucement jusque dans le salon. Après une rapide collation, ils s'installèrent dans le canapé et passèrent l'après midi ainsi. Le soir tombait. Le week-end avait été d'une puissance inouïe. Elle avait pris son pied comme jamais, appris une nouvelle leçon sur sa vie de soumise, servie son Maitre comme il le désirait et où il le désirait.

Il venait de lui dire qu'il devait se lever tôt demain et elle comprit le message. Elle se leva et se rappela alors que sa robe, son seul vêtement avait été entièrement déchirée hier soir. Elle le regarda et il comprit.

« Ne bouges pas, j'ai tout prévu. »

Elle n'aurait pas du en douter se reprochât elle. Il pensait toujours à tout. Il revint rapidement avec des vêtements. Enfin deux morceaux de tissus plutôt se dit elle. Elle découvrit la mini jupe la plus courte qu'elle n'ait jamais vu et un haut très décolleté à fine bretelles. Elle les enfila rapidement. Il la regarda de la tête au pied et lui dit :

« Viens, tu vas te voir dans la glace. »

Il l'emmena dans la salle de bain devant la grande glace. Elle se découvrit dans cette tenue. La jupe était tellement courte qu'elle frôlait le bas de ses fesses. Si elle bougeait trop elle offrirait une vue sur son cul à tout les piétons. Et le haut était tellement décolleté qu'il s'arrêtait juste au dessus des tétons. En plus de s’arrêter au dessus du nombril, découvrant son petit ventre plat et ferme. Elle était plus qu’indécente dans cette tenue. Et à voir son sourire, il aimait ça.

« Tu te trouves comment ? »

Elle ne sut d'abord pas quoi répondre avant de dire la première chose qui lui venait à l'esprit :

« Comme une pute »

« Hmmm tant mieux. »

Il la saisit alors par les épaules et la forçat à se pencher sur le lavabo. Il n'eut même pas à retrousser sa jupe, elle remonta d'elle même au dessus de ses fesses. Il sortit prestement sa queue et l'enfila dans sa petite chatte d'un seul mouvement. Et il commença à la baiser. Il voyait ses seins ballotter dans la glace. Le haut était tellement décolleté que ses seins sortirent au premier coup de queue. Il l'agrippa par les cheveux tout en continuant à la défoncer et tira sa tête en arrière.

Ils se regardaient dans les yeux par la glace interposé. Il voyait son regard de salope heureuse et honteuse à la fois de l'image qu'elle renvoyait dans le miroir. Elle voyait son regard fier et heureux. Et elle lut son envie dans son visage. Il la ramonait fortement et le plaisir ne mit que peu de temps à revenir. Elle ne savait pas si elle pourrait le retenir ce coup-ci.

Il la baisait, penchée sur le lavabo, en profitant du spectacle que lui envoyait le miroir. Il lui dit alors :

« Maintenant tu as le droit de jouir. »

Elle ne pouvait rien répondre. Elle était tellement excitée qu'elle ne pouvait plus parler. Elle ne pouvait que gémir. En moins de 5 minutes elle eut un orgasme puissant. Et le second ne mit que quelques minutes supplémentaires à venir. Ses jambes tremblaient quand il jouit à son tour, remplissant de nouveau sa chatte de sperme chaud dans de violents coups de reins. Une fois vidé, elle s'agenouilla devant Lui et prit sa queue en bouche pour la nettoyer, ce qu'elle fit consciencieusement.

Puis il la releva, lui enleva son collier et lui souhaita une bonne soirée en lui rappelant son rendez vous de travail de lundi et en lui indiquant les deux sacs contenant les vêtements qu'ils avaient achetés ensemble.

Elle sortit donc dans les rues sombres, les bras chargés, vêtue d'une mini jupe qui découvrait son cul plus qu'il ne le cachait et d'un décolleté qui menaçait de faire sortir ses seins à chaque sursaut. Mais le seul détail qui l’intéressait elle, c'était son sperme qui coulait de sa fente et recouvrait l’intérieur de ses cuisses. Sa marque, la marque qu'elle lui appartenait. Un marquage invisible pour tous mais éternel pour elle....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
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