Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 14:48

 

 

La matinée s'était passé tranquillement. Les rendez vous de sa responsable s'étaient enchaînés sans difficulté et elle avait pris ses marques sur son poste. Elle devait encore s'habituer à deux trois choses mais rien de bien méchant se dit elle. Le dernier rendez vous venait de partir et midi approchait. Elle en avait profité pour savoir ce que sa patronne faisait exactement.

Elle était en charge du contrôle financier pour tout le groupe au niveau national. C'était elle qui validait les budgets des projets en préparation, qui s'assurait qu'ils étaient respectés ensuite et qui vérifiait que tout était en règle au niveau comptable et fiscal.

Toutes les personnes qui venaient la voir venaient en fait chercher son approbation, espéraient sa clémence ou craignaient qu'elle découvre une erreur. Elle avait vraiment du pouvoir sur ces gens, presque tous des hommes d'après ce qu'elle avait vu sur l'organigramme de la société. Et quand elle voyait leur attitude quand ils devaient venir dans ce bureau et la sienne quand ils entraient dans son bureau, elle n'avait aucun doute qu'elle les dominait pleinement.

Elle avait complètement oublié cette soumise prise à la chaîne et remplie de sperme sur le capot de leur voiture. Cette femme était totalement différente. Ça l'étonnait de voir qu'on pouvait être aussi soumise le vendredi soir et aussi dominante le lundi. Deux femmes différentes. Ça lui avait donné à réfléchir. Et ça l'avait un peu rassuré. Sa vie ne se résumerait pas forcément à être une soumise. Elle était plongée dans ses pensées quand elle entendit frapper à la porte de son bureau.

En levant la tête elle vit apparaître son Maitre, souriant.

« Bonjour, alors elle t'a pris on dirait. »

« Bonjour, oui à l'essai pour le moment. »

« Parfait, annonce lui ma présence. »

Elle se souvenait qu'elle devait le présenter comme son oncle. Mais sa phrase pleine d'autorité lui fit monter la chaleur dans le ventre. Elle décrocha son téléphone et annonça que son « oncle » était là. Sa patronne vint alors directement dans son bureau.

« Bonjour Alex, comment vas tu ? »

« Bien merci et toi ? » Ils se firent la bise et Claire se demanda alors si ils avaient eu plus que ce passage à la chaîne dont il lui avait parlé.

« Bien. Tu viens voir si je la traite bien ? » répondit elle en riant.

« Non, j'ai pas de doute sur le sujet. Je viens voir si je peux te l'emprunter pour aller déjeuner. »

« Oui pas de problème, qu'elle soit là à 13 heures 45. Mon après midi sera chargée. »

« Parfait alors. Allez Claire, vient on va manger à la maison. »

« D'accord, je serai là à l'heure madame. »

« Madame... je suis si vieille ? » répondit elle en riant « Appelle moi Marie quand il n'y a que nous. »

« Ok, merci Marie. »

Claire prit son sac, ils sortirent de l'immeuble et prirent la voiture de son Maitre. Une fois seul dans l'habitacle il prit la parole.

« Alors, tu n'a pas été trop surprise de la voir ? »

« Si, carrément Maitre » Elle avait repris naturellement sa manière de lui parler une fois en tête à tête.

« C'est une femme de pouvoir ici. Sa soumission n'existe que quand son Maitre lui pose son collier ou quand il est présent tout simplement. »

« Je vois Maitre ». Ils roulaient tranquillement en direction de chez Lui. Elle ne savait pas ce qu'il avait en tête mais elle n'était absolument pas stressée. Ils se garèrent dans le parking et montèrent chez Lui. Une fois entré, elle n'hésita pas et s'agenouilla, relevant ses cheveux. Elle le vit sourire, il attrapa son collier et lui mit autour du cou. Puis il la releva.

« J'ai très faim. Et tu sais que cette tenue te vas très bien. » dit il en passant ses mains par dessus le tailleur.

« Merci Maitre. J'ai l'impression d'être une vraie femme d'affaire là dedans» elle se sentit rougir sous ses mots.

Il l'embrassa à pleine bouche puis subitement sa main passa sous la veste du tailleur et attrapa violemment son sein droit à travers le chemisier. Elle lâcha un petit gémissement sous cette prise bestiale. Il relâcha son étreinte et la regarda de la tête au pied. Puis il l'amena dans le salon.

« Mets toi à 4 pattes sur le canapé, cul vers moi. Et retrousse ta jupe. » Ces ordres finirent de la mettre à température. Elle le vit déboutonner son pantalon pendant qu'elle s’exécutait, lui dévoilant son petit cul dans un des strings qu'ils avaient achetés samedi. Il ne perdit pas de temps, l'attrapa par les hanches, écarta la dentelle et fourra sa queue en elle.

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Le gémissement de plaisir et de soulagement qu'elle échappa ne laissait aucun doute sur ce qu'elle ressentait. Il était bestial et la baisa directement sans retenue. Il l'attrapa par les cheveux et lui tira la tête en arrière.

« Alors, tu trouves toujours que tu ressembles à une femme d'affaire maintenant ? »

« Non Maitre ».

« Et tu es quoi donc ? »

« Une pute... votre pute... je suis votre chienne Maitre....... et j'aime... ça ». Sa réponse entrecoupée de gémissement de plaisir lui était venue naturellement.

« Parfait, tu sais ce que tu es. Tu as donc le droit de jouir. »

« Meeer.... ciii Maaaiiitttrrreee » Elle était heureuse qu'il l'autorise à jouir car elle sentait qu'elle allait venir rapidement. Il la défonça de plus en plus fort tel un animal et effectivement son orgasme ne mit que quelques minutes à la surpasser. Elle n'essaya pas de se retenir et hurla comme une folle, baisée en levrette, tirée par les cheveux. Il continua de la baiser puis, en la tirant violemment par les cheveux il la fit descendre du canapé et s'agenouiller devant Lui. Elle ouvrit la bouche en grand et il y enfourna sa bite. Elle le suçait avidement quand elle l'entendit dire :

« Enlève la veste et ouvre ton chemisier en grand. »

Précipitamment, en continuant de le sucer, elle obéit. Une fois son chemisier grand ouvert dévoilant sa magnifique poitrine galbée superbement par son soutien gorge en dentelle, il sortit de sa bouche.

Et en quelques secondes il se vida sur ses seins, déversant une belle quantité de foutre du bas de son cou jusqu'à la dentelle, recouvrant une bonne partie de ses seins. Une fois ses esprits retrouvés il lui dit d'étaler le sperme sur ses seins, ce qu'elle fit en souriant.

Ensuite, ils mangèrent tranquillement. Il lui ordonna de laisser son chemisier ouvert le temps que le sperme sèche. Ce qu'elle fit en imaginant ce qu'il avait en tête. Et elle avait vu juste. Il la ramena ensuite à temps à son travail. Il lui avait retiré son collier, mais son sperme sec sur ses seins était une marque suffisante du fait qu'elle lui appartenait. Et si le chemisier et le tailleur empêchaient tout le monde de le voir, eux le sauraient. Tout comme pour Marie et son Maitre...

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : L'art de s'offrir
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