Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 17:27

 

 

Leur rendez vous suivant était fixé deux jours plus tard, en soirée. Sa tenue était simple : une robe noire s’arrêtant au dessus du genou, plutôt décolletée accompagnée d'un string mais sans soutien gorge. Elle sentait ses deux seins se balader sous le tissus quand elle marchait pour aller chez lui et ce frottement l'excitait. Et cette excitation était visible elle le savait. Ses deux tétons étaient bien durs et ils pointaient fortement sous la robe.

Heureusement que la nuit était déjà tombée se dit elle. De ce fait elle ne croisait personne et à moins de passer juste à côté d'elle, personne ne pourrait le voir. Ils habitaient à proximité l'un de l'autre ce qui facilitait encore les choses. Elle arriva en bas de chez lui sans s'en apercevoir presque. Elle sonna à l'interphone, il ouvrit et elle monta.

Il l'attendait au pas de la porte cette fois ci.

« Bonsoir Claire, entre ».

C'était la première fois qu'il l'appelait par son prénom et, sans savoir pourquoi, ce simple détail la fit rougir et lui donna l'impression d'être une petite fille. Elle ne put que répondre « bonsoir » et elle entra.

Il ferma la porte derrière elle. Les volets étaient fermés et l'appartement n'était que faiblement éclairé par deux lampes disposées dans deux pièces différentes. L'ambiance était clairement érotique se dit elle. Il la regarda, attendant qu'elle s'exécute et elle se rappela alors ce qu'elle devait faire.

Elle s'agenouilla, souleva ses cheveux et baissa la tête, attendant son collier. Il lui passa autour du cou et le ferma. Puis il la gifla. Surprise elle leva les yeux vers lui, et dans un regard plein de désarroi elle l'interrogea silencieusement sur ce qu'elle avait fait de mal, sur ce qui l'avait déçu. Il lui expliqua.

« Quand tu t'adresses à moi tu dois m'appeler par mon titre ma soumise. Ne l'oublie pas. »

Elle comprit ce qu'il voulait dire et lui répondit correctement cette fois.

« Oui Maitre. Je m'excuse Maitre ».

« Tu es pardonnée. Mais fait attention. Je ne suis pas n'importe qui, je suis ton Maitre. »

« Bien Maitre »

Il l'attrapa par le collier et la releva. Une fois debout il attrapa ses seins à pleine mains à travers sa robe, heureux de constater qu'elle avait respecté ses instructions et qu'elle ne portait pas de soutien gorge. Ses seins étaient tellement ferme et haut placé qu'il en avait douté en la voyant. Cette poigne ferme sur ses seins déjà tendus lui arracha un gémissement de plaisir qui le fit sourire.

Délicatement il ramena ses cheveux autour de son cou sans qu'elle ne sache pourquoi. Puis il ouvrit la porte.

« Nous sortons, suis moi. »

Elle faillit paniquer à l'idée de sortir en collier mais elle comprit alors que ses cheveux allaient le cacher. Et surtout elle ne voulait pas le décevoir de nouveau. Alors elle se força à avancer et à le suivre sur le palier. Il verrouilla la porte de son appartement et ils descendirent jusqu'au parking où se trouvait sa voiture. Il fit preuve de galanterie et lui ouvrit la porte passager. Puis il s'installa au volant et il démarra.

Elle ne savait pas où ils allaient et dut se retenir de lui demander. Elle était nerveuse et à plusieurs reprises elle dut fermer les yeux pour se calmer. Ils croisèrent plusieurs voitures en ville et deux s’arrêtèrent même à leur hauteur au feu. Elle regarda droit devant elle, se rappelant que ses cheveux cachaient son collier. Elle l'espérait tout du moins.

Rapidement ils sortirent de la ville et empruntèrent des petites routes de campagnes où ils ne croisaient personne. Elle se relaxa alors même si l'absence d'information sur leur destination l'intriguait. Une fois en pleine campagne il la regarda et lui dit d'un ton ne souffrant aucune réplique :

« Enlève ton string »

Sa voix et le ton employé refit grimper son désir et son excitation. Elle s’exécuta en douceur, voulant être sensuelle. Elle voulait l'exciter autant que lui l'excitait. Elle releva doucement le bas de sa robe le long de ses jambes et une fois remontée au maximum elle commença à faire glisser sensuellement son string. Tout en conduisant, il ne loupa pas une miette du spectacle et son regard marquait son excitation et son envie. Une fois enlevé elle le tint en l'air pour l'allumer. Elle souriait, heureuse d'elle même.

Il appuya sur le bouton d'ouverture électrique de la fenêtre passager et la descendit complètement.

« Jette le par la fenêtre »

Elle faillit protester mais le souvenir de la gifle de tout à l'heure la retint. Avec beaucoup d'appréhension elle s'exécuta. Le prix de l'objet ne la dérangeait pas, il lui avait expliqué qu'il compenserait tout ce qui serait perdu ou déchiré dans sa garde robe. C'était plutôt le fait de savoir qu'à partir de cet instant elle serait nue sous sa robe qui était elle même légère. Ce qui ne lui était jamais arrivé.

Une fois le dernier rempart de son intimité jeté sur une route de campagne sombre, il referma la vitre. Et il continua de rouler. Elle n'essaya pas de redescendre sa robe et quand il vint poser sa main sur sa cuisse nue elle se félicitât de ne pas l'avoir fait.

Sa main restait sage et se contentait d'effleurer son sexe. Ils arrivèrent ensuite dans une grande foret et il ralentit. Et il s'engagea sur un petit chemin forestier. Elle ne voyait pas où il voulait aller mais sa main et son envie suffisaient pour la calmer.

Une fois loin de la route principale il s'arrêta. Il faisait très sombre dehors même si la lune lui permettait de distinguer les arbres les entourant. La météo était clémente en ce début d'été et la température était agréable même à cette heure. Sans un mot il déboutonna son pantalon et sorti son sexe, qui était déjà bien gonflé.

Sa main quitta sa cuisse et vint se placer derrière sa tête. Elle comprit le message, se pencha sur son sexe et le prit en bouche. C'était la première fois qu'elle faisait quelque chose en extérieur. Mais elle était tellement excitée que ce détail ne la dérangeait pas. En plus, il était plus qu'improbable que quelqu'un les surprenne à cette heure ci à cet endroit. Elle le suça donc avec application et désir.

Elle sentait sa queue durcir et grossir entre ses lèvres, multipliant sa propre excitation. Sa main derrière sa tête lui donnait le rythme et la profondeur qu'il souhaitait. Et elle prenait du plaisir à lui donner ce dont il avait envie. Elle sentait son envie s'amplifier, elle l'entendait gémir de plaisir et sa prise derrière sa tête s'affermissait de plus en plus.

Elle le suçait depuis plusieurs minutes quand il la tira par les cheveux violemment en arrière. Elle se trouva bouche ouverte, la tête fortement tirée par les cheveux, un filet de salive reliant son sexe à ses lèvres. Elle remarqua son regard. Le regard d'un animal en rut, d'une bête excitée. Et cette simple vue la mit au bord de l'extase. Elle n'avait jamais vu un tel regard chez un homme, elle ne s'était jamais autant sentie désirée par un mâle. Et elle était heureuse de voir qu'elle le mettait dans cet état. Il reprit la parole :

« Descends »

Elle ne se fit pas prier et il descendit à son tour. Il l'amena devant le capot et lui enleva sa robe. Elle se trouva nue, juste vêtu de son collier, en pleine foret, de nuit, juste éclairée par la nuit. Loin de l'effrayer la situation l'excitait. Violemment, il la retourna et la coucha, poitrine collée sur le capot. Avant qu'elle n'ait le temps de faire quoi que ce soit elle sentit ses doigts s'enfoncer en elle. Et elle commença à gémir immédiatement.

Rien à voir avec son premier doigté. C'était bestial, puissant. Elle haletait, gémissant comme une folle. Elle était au bord du plaisir mais elle voulait attendre. Elle voulait sa queue. Elle voulait qu'il la prenne, la pénètre. Elle tourna la tête vers lui, le regarda et l'implorant du regard de la prendre. Il comprit le message. Et dans un sourire pervers il lui répondit :

« Si tu le veux demande le ma chienne ». Elle comprit ce qu'il voulait entendre et bien qu'elle n'ait jamais fait ça elle lui donna ce qu'il attendait de manière très naturelle.

« Baisez moi Maitre, donnez moi votre queue, s'il vous plaît. »

« Encore ! » lui dit il en agrippant par sa longue tignasse pour la cambrer au maximum.

« Je vous en prie Maitre, baisez moi, défoncez moi j'ai envie de votre queue ! » Elle le suppliait de la baiser, elle ne s'était jamais sentie aussi chienne, aussi soumise, aussi humiliée. Mais elle ne s'était jamais sentie aussi excitée non plus.

Elle senti ses doigts quitter sa chatte et sa main venir attraper sa hanche pendant que son autre main lui tirait toujours violemment les cheveux en arrière. Puis sa queue venir à l'entrée de son sexe détrempée. Et d'un violent coup de rein il s'enfonça en elle. Pas de round d'observation, il la baisa violemment d'entrée de jeu. Il la défonça à grands coups de rein, lui décollant presque les pieds du sol à chaque fois. Il la baisait comme une chienne, comme une véritable pute se dit elle. Et elle adorait ça.

Chaque coups de reins lui arrachait un cri de plaisir de plus en plus fort. Son orgasme montait très vite et il promettait d'être puissant. Il y alla de plus en plus vite et de plus en plus fort. Et rapidement elle eut son premier orgasme sur la queue d'un homme. Oubliant où ils étaient elle hurla son plaisir, agrippant comme elle le pouvait au capot de sa voiture. Elle cria son plaisir et se contorsionna pendant de très longues secondes et son plaisir commençait à redescendre quand il se vida en elle dans un grand cri bestial.

Et la sensation de son sperme qui la remplissait, sensation qu'elle n'avait jamais connue, lui déclencha un deuxième orgasme, moins fort tellement le premier l'avait vidé de toutes forces mais suffisamment intense pour le rendre délectable. Il ponctua son orgasmes de violent coup de rein permettant de se vider jusqu'à la dernière goutte en elle et se retira.

Elle faillit tomber quand il la lâcha tellement ses deux orgasmes l'avaient épuisé. Ils reprirent leur souffle et il ramassa sa robe et lui tendit. Elle la repassa sans un mot mais avec un regard lui exprimant une gratitude et une admiration immense. Elle était folle de cet homme et il le vit. Son regard exprimait qu'elle était à Lui et qu'il pourrait en faire ce qu'il voulait. Et il le comprit....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
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