Non catégorisé

Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 22:36

 

Quand Claire quitta son travail, elle était impatiente. Impatiente de voir le cadeau que son Maitre avait laissé chez elle. Elle trépignait d'impatience dans le bus. Elle avait encore le souvenir frais de la prise par son Maitre. Mais l'excitation de la surprise qui l'attendait prenait le dessus sur tout.

Le bus finit par la déposer près de chez elle et elle dut se retenir de courir. Elle s'aperçut que sa main tremblait quand elle enfila la clé dans la serrure. Une fois rentrée, elle jeta son sac dans un coin et se mit à la recherche. Elle découvrit rapidement son cadeau, posé sur son lit.

Une robe de soirée noire. Elle l'attrapa avec un grand sourire pour l'observer et découvrit en dessous un porte jarretelles noir et des bas. Elle les laissa de côté pour se concentrer sur la robe. Elle était magnifique. Visiblement très décolletée, devant comme derrière. Et fendue sur le côté gauche. Elle ne put se retenir et décida de l'enfiler tout de suite.

Une fois fait, elle se rendit devant le grand miroir de la salle de bain. Et découvrit que cette robe était encore plus sensationnelle qu'elle ne l'avait pensée. Elle soulignait ses courbes de manière parfaite et dévoilait les parties les plus avantageuses de son anatomie tout en restant sage. De quoi faire tourner les têtes sans pour autant être un appel au viol.

Le genre de robe qu'elle n'avait jamais vu que sur les magazines. Ou à la télé quand les actrices montent les marches et avancent sur les tapis rouges. Elle n'aurait jamais pensé avoir une telle robe un jour. Elle se trouvait juste sculpturale. Et à ce moment là elle se demanda le prix qu'avait coûté ce cadeau. Elle dut mettre cette idée de côté. L'heure avançait et si elle voulait être à la hauteur de cette robe, elle devait se préparer.

Elle se doucha, se coiffa en faisant onduler légèrement ses cheveux et se maquilla légèrement car elle savait qu'il aimait que ça soit discret. Puis elle retourna dans la chambre et elle s’arrêta alors sur le porte jarretelles et les bas. Elle réalisa ce que ça voulait dire. Elle ne devait rien porter d'autre sous cette robe. Ça allait la rendre encore plus incendiaire. Mais si il voulait cela, elle le lui donnerait.

Elle enfila donc les bas et les accrocha au porte jarretelles. Puis elle enfila la robe. Elle repassa devant le miroir. Elle était vraiment incroyable. La robe était suffisamment près du corps et décolletée derrière pour que toute personne qui regarderait avec attention comprenne qu'elle était nue en dessous. Sa poitrine parfaite se passait très bien du soutien gorge et le décolletée n'en souffrait pas. Elle s’apprêtait à sortir de chez elle quand son téléphone sonna. Un message.

« Tu es prêtes ? » Elle répondit sobrement :

« Oui Maitre. »

« Bien ne bouge pas j'arrive » Elle sentit son cœur s’accélérer en lisant ces mots. Et effectivement, quelques secondes après elle l'entendit toquer à la porte. Elle lui ouvrit et ne put s’empêcher de sourire et de rougir comme une jeune fille. Il la détailla de la tête au pied et elle lut l'envie et le plaisir dans son regard.

« Je savais qu'elle t'irait bien mais j'étais très en dessous de la réalité. Tu es sensationnelle. »

« Merci Maitre. » Il la regarda dans les yeux et lui répondit en silence. Il lui souleva doucement le menton pour lui faire lever le visage et se pencha avec tendresse vers elle pour l'embrasser avec passion. Une fois ce baiser terminé elle n'eut qu'une envie : qu'il lui enlève sa robe et qu'il fasse d'elle sa chose. Mais il n'en fit rien.

« Nous allons à une soirée professionnelle. Tu es présentée comme ma nièce donc ne l'oublie pas. Je te présenterai certaines des personnes présentes une fois sur place. Mais j'ai un dernier cadeau pour toi. »

Elle ne sut pas quoi répondre et se contenta de le regarder dans les yeux. Il sortit alors l’œuf vibrant de sa poche.

« Remonte ta robe »

Elle s’exécuta, sachant à quoi s'attendre et il vint placer sa main entre ses cuisses. Il découvrit ce qu'il espérait : elle était déjà chaude et humide. Il vint glisser l’œuf dans son sexe et il entra sans difficulté.

« Je jouerai avec toi ce soir. Personne ne devra rien remarquer. Si tu es appliquée tu seras récompensée à notre retour. »

« Bien Maitre ».

Il remit sa robe en place et ils se dirigèrent vers la porte d'entrée. Elle s'apprêtait à sortir quand il la rattrapa par la main.

« Attends. Je n'arriverai jamais à tenir jusqu'à notre retour. Agenouille toi. Et fais bien attention à ne pas tacher la robe. »

Elle le regarda avec un grand sourire provocateur, heureuse de voir qu'elle le mettait dans cet état. Elle remonta le bas de sa robe puis elle s'agenouilla et ouvrit la bouche. Il ne se fit pas prier, déboutonna son pantalon et planta son sexe en érection dans sa bouche. Immédiatement elle commença sa fellation ce qui finit de faire gonfler son sexe.

Elle fit très attention à ne pas baver et à ne pas tacher ou froisser sa robe. Elle prenait beaucoup de plaisir à le sucer comme ça et en levant les yeux elle vit son regard planté dans son décolleté qui était absolument indécent sous cet angle.

Elle sentit rapidement son plaisir monter et sa main vint se planter derrière sa tête mais moins fermement que d'habitude pour ne pas la décoiffer. Et il finit par se vider dans sa bouche dans un cri bestial qui ne laissait aucun doute sur son plaisir. Elle le suça jusqu'à la dernière goutte, aspirant bien son gland puis elle avala et le regarda dans les yeux la bouche ouverte.

Elle avait le sourire du devoir accompli. Elle était heureuse et elle avait envie d'encore plus. Mais elle saurait se retenir de lui demander. Il se reboutonnait quand elle se releva et replaça sa robe. Elle se rendit dans la salle de bain avec son accord et rajusta le tout. Elle rattrapa son maquillage et alla le rejoindre.

Elle avait vraiment l'impression d'être une princesse. Sa princesse. Et elle voulait vivre son conte de fée à Lui.....

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Vendredi 29 juillet 5 29 /07 /Juil 17:47

 

 

Cela faisait maintenant 4 jours qu'elle travaillait pour Marie. Il ne s'était rien passé d'extraordinaire depuis. Mais ce matin, en arrivant et en vérifiant le planning de sa patronne, elle avait vu une étoile rouge apparaître sur le créneau de 14 à 16h. Elle savait ce que cela signifiait. Heureusement, il y avait peu de rendez vous sur cette plage horaire et elle n'eut aucun mal à les reporter.

La matinée passa tranquillement même si elle se sentait toute excitée. Elle savait ce qui allait arriver à Marie. Enfin elle en avait une idée plutôt. Mais elle ne savait pas où et comment ça allait se passer ni ce qu'elle allait devoir faire pendant ce laps de temps.

Arrivé à la pause médiane, elle vit Marie partir mais elle ne lui donna pas d'instructions. Alors elle décida d'aller manger et de revenir comme si de rien n'était. A son retour de la cantine, elle fut surprise et heureuse de découvrir son Maitre assis derrière son bureau.

« Bonjour Monsieur » lui lança t'elle avec un grand sourire.

« Bonjour Claire. Tout se passe bien ? »

« Parfaitement Monsieur. Merci »

« Tu es toute seule cet après midi ? » Au son de sa voix, elle comprit qu'il connaissait la réponse.

« Oui Monsieur, Marie a un rendez vous spécial jusque 16h » dit elle en rougissant sans vraiment savoir pourquoi.

« Oui, très spécial, je sais. Suis moi. » et il se rendit dans le bureau de Marie. Après avoir fermé à clé la porte du bureau de Claire donnant sur le couloir.

Elle le suivit docilement et elle le vit fermer aussi à clé la porte du bureau de Marie donnant sur le couloir. Une fois seul, il la regarda et sortit son collier de sa poche.

« Déshabille toi. Entièrement. Et agenouille toi ensuite. »

Il allait la dominer ici. Dans le bureau de Marie, sur son lieu de travail. Elle eut une petite poussée de panique à l'idée que quelqu'un les surprenne mais ensuite elle se rappela les deux portes verrouillées. Et elle se dit que Marie devait faire de même de temps à autre. Alors elle s'exécuta. Une fois nue et à genoux, il lui mit son collier autour du cou et attacha la laisse. Puis il la tira derrière le bureau de Marie, s'assit dans son fauteuil et la fit s'agenouiller à ses pieds.

« Le Maitre de Marie est un bon ami à moi qui me doit quelques services. »

Elle le vit ensuite allumer son ordinateur et il reprit ses explications une fois sur une page web précise.

« Il a placé une caméra qui filmera leur ébats de cet après midi. Je suis le seul à connaître l'adresse de cette page. Nous pourrons donc assister à leur séance. Et tu verras ta patronne dans sa phase la plus chienne. »

Et juste après cette phrase, l'image d'une chambre d’hôtel apparut. Marie était nue en laisse, à genoux. Et autour d'elle se trouvait 5 hommes. Il monta le son et le spectacle commença. Elle entendit clairement Marie dire :

« Je suis la soumise de Maitre Pierre. Et j'aime ça. Mon Maitre m'offre à qui bon lui semble et je suis faite pour satisfaire les désirs de mon Maitre et de ceux à qui il m'offre. Et j'aime ça. »

Elle ne lut aucune honte sur le visage de Marie, bien au contraire. Elle semblait heureuse et fière. Après ces mots, les hommes sortirent leurs sexes et les portèrent à hauteur de son visage. Marie s'empressa de les prendre en bouche, les suçant chacun l'un après l'autre. Elle semblait adorer ça et échappait des gémissements étouffés pendant qu'elle se délectait de leurs verges.

A plusieurs reprises, la caméra zooma sur son visage et elle pouvait voir qu'elle appréciait ça. Plusieurs fois, les hommes lui tinrent la tête et baisèrent sa petite bouche. Elle était tellement absorbée par ce spectacle qu'elle n'avait pas remarquée que son Maitre avait sortit son propre sexe. Quand il agrippa par les cheveux elle fut surprise mais elle comprit immédiatement et ouvrit la bouche pour enfourner son sexe raide.

Elle le suçait comme Marie suçait les hommes à l'écran. Son Maitre l'avait mis dans une position telle qu'elle pouvait le sucer et regarder l'écran. Elle vit les hommes devenir de plus en plus bestial avec Marie. Elle venait d'être relevée sur ses jambes et elle était penchée en avant, une queue dans la bouche quand un homme placé derrière elle l'attrapa par les hanches et la prit bestialement. Elle poussa un cri de plaisir et de contentement que même la queue dans sa bouche ne put étouffer.

« Marie aime être soumise en tant que pute. C'est son plaisir à elle et celui de son Maitre. Il aime transformer cette femme BCBG en salope, se faisant passer par tout le monde et n'importe qui. Et elle aime être traitée comme une pute. Leur relation est symbiotique, chacun donnant à l'autre ce qu'il attend. »

Elle était en train d'absorber cette idée tout en le dégustant quand il reprit la parole.

« Il y a autant de forme de soumission que de femmes soumises. Ton plaisir à toi est différend. Et il correspond au mien. C'est pour ça que tu es mienne et que je suis heureux d'être ton Maitre. »

Elle ne savait pas quoi répondre mais elle était particulièrement heureuse d'entendre cela. Elle le suçait avec plaisir, entendant les gémissements de Marie. Puis il la releva en la tirant par les cheveux. Et il la pencha sur le bureau, ses pieds au sol et ses seins collés contre le bois. Elle avait le visage face à l'ordinateur pour lui permettre de continuer à admirer le spectacle. Marie venait de se mettre sur un homme, le chevauchant tandis qu'un autre s'engageait derrière elle. Se mettant en place pour une double pénétration vaginale-anale. Le cri de Marie quand le deuxième homme entra dans son cul fut d'une puissance et d'une bestialité inouïe.

Elle profitait tellement des images qu'elle ne le sentit pas écarter ses fesses. Il allait la sodomiser directement en profitant du spectacle de l'écran lui aussi. Il avait une envie bestiale de sa jolie petite croupe. Et elle allait l'assouvir. Il commença à entrer dans son cul et il vint immédiatement mettre une main devant sa bouche pour l’empêcher de hurler.

Il entra assez facilement dans son petit cul qui commençait à s'habituer à cette prise virile. Il lui dit de serrer les dents pour rester discrète et il retira sa main pour mieux la saisir par les hanches. Et commencer à la besogner. Il l'enculai fort et elle avait beaucoup de mal à se retenir de hurler. Mais elle se sentait chienne comme jamais, prise comme cela, sur le bureau de sa patronne pendant que cette dernière se fait prendre en sandwich entre deux hommes qui la défonçaient tout aussi fort. Elle vit un troisième homme se mettre debout sur le lit devant Marie et lui fourrer sa queue dans la bouche. Elle était remplie par tout les trous.

Elle était tellement excitée par ce qu'elle voyait qu'elle oubliait presque cette grosse queue qui défonçait son petit anus. Il la baisa pendant de longues minutes en la tirant par les cheveux avant de se vider dans son cul en se retenant lui aussi de crier. Elle faillit jouir tellement elle se sentait chienne et salope à cet instant là. Il se finit dans des coups de reins puissants puis il sortit de son cul. Elle reprenait ses esprits quand elle vit que Marie était seule sur le lit, effondrée. Et la caméra fit quelques zooms pour montrer le sperme coulant de ses trois trous. Elle était toujours penchée, les seins collés au bureau quand il se releva et se rhabilla.

Il la fit s'agenouiller et lui enleva son collier.

« Tu as aimé ce que tu as vu ? »

« Oui Maitre. Et encore plus ce à quoi j'ai eu le droit pendant la séance de ciné. Merci » dit elle en souriant.

« Parfait alors. Rhabille toi, attends Marie sagement. Et rends toi chez moi ce soir à 21h. Mais passe chez toi avant, un cadeau t'y attends. »

Il l'embrassa ensuite passionnément et la laissa seule. Elle remit tout à sa place, éteignit l'ordinateur, se rhabilla et alla attendre Marie sagement. Du sperme coulant de son cul défoncé. Et quand Marie arriva comme si de rien n'était, elle se rappela que du sperme coulait de chacun de ses trous à elle.....

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Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 14:48

 

 

La matinée s'était passé tranquillement. Les rendez vous de sa responsable s'étaient enchaînés sans difficulté et elle avait pris ses marques sur son poste. Elle devait encore s'habituer à deux trois choses mais rien de bien méchant se dit elle. Le dernier rendez vous venait de partir et midi approchait. Elle en avait profité pour savoir ce que sa patronne faisait exactement.

Elle était en charge du contrôle financier pour tout le groupe au niveau national. C'était elle qui validait les budgets des projets en préparation, qui s'assurait qu'ils étaient respectés ensuite et qui vérifiait que tout était en règle au niveau comptable et fiscal.

Toutes les personnes qui venaient la voir venaient en fait chercher son approbation, espéraient sa clémence ou craignaient qu'elle découvre une erreur. Elle avait vraiment du pouvoir sur ces gens, presque tous des hommes d'après ce qu'elle avait vu sur l'organigramme de la société. Et quand elle voyait leur attitude quand ils devaient venir dans ce bureau et la sienne quand ils entraient dans son bureau, elle n'avait aucun doute qu'elle les dominait pleinement.

Elle avait complètement oublié cette soumise prise à la chaîne et remplie de sperme sur le capot de leur voiture. Cette femme était totalement différente. Ça l'étonnait de voir qu'on pouvait être aussi soumise le vendredi soir et aussi dominante le lundi. Deux femmes différentes. Ça lui avait donné à réfléchir. Et ça l'avait un peu rassuré. Sa vie ne se résumerait pas forcément à être une soumise. Elle était plongée dans ses pensées quand elle entendit frapper à la porte de son bureau.

En levant la tête elle vit apparaître son Maitre, souriant.

« Bonjour, alors elle t'a pris on dirait. »

« Bonjour, oui à l'essai pour le moment. »

« Parfait, annonce lui ma présence. »

Elle se souvenait qu'elle devait le présenter comme son oncle. Mais sa phrase pleine d'autorité lui fit monter la chaleur dans le ventre. Elle décrocha son téléphone et annonça que son « oncle » était là. Sa patronne vint alors directement dans son bureau.

« Bonjour Alex, comment vas tu ? »

« Bien merci et toi ? » Ils se firent la bise et Claire se demanda alors si ils avaient eu plus que ce passage à la chaîne dont il lui avait parlé.

« Bien. Tu viens voir si je la traite bien ? » répondit elle en riant.

« Non, j'ai pas de doute sur le sujet. Je viens voir si je peux te l'emprunter pour aller déjeuner. »

« Oui pas de problème, qu'elle soit là à 13 heures 45. Mon après midi sera chargée. »

« Parfait alors. Allez Claire, vient on va manger à la maison. »

« D'accord, je serai là à l'heure madame. »

« Madame... je suis si vieille ? » répondit elle en riant « Appelle moi Marie quand il n'y a que nous. »

« Ok, merci Marie. »

Claire prit son sac, ils sortirent de l'immeuble et prirent la voiture de son Maitre. Une fois seul dans l'habitacle il prit la parole.

« Alors, tu n'a pas été trop surprise de la voir ? »

« Si, carrément Maitre » Elle avait repris naturellement sa manière de lui parler une fois en tête à tête.

« C'est une femme de pouvoir ici. Sa soumission n'existe que quand son Maitre lui pose son collier ou quand il est présent tout simplement. »

« Je vois Maitre ». Ils roulaient tranquillement en direction de chez Lui. Elle ne savait pas ce qu'il avait en tête mais elle n'était absolument pas stressée. Ils se garèrent dans le parking et montèrent chez Lui. Une fois entré, elle n'hésita pas et s'agenouilla, relevant ses cheveux. Elle le vit sourire, il attrapa son collier et lui mit autour du cou. Puis il la releva.

« J'ai très faim. Et tu sais que cette tenue te vas très bien. » dit il en passant ses mains par dessus le tailleur.

« Merci Maitre. J'ai l'impression d'être une vraie femme d'affaire là dedans» elle se sentit rougir sous ses mots.

Il l'embrassa à pleine bouche puis subitement sa main passa sous la veste du tailleur et attrapa violemment son sein droit à travers le chemisier. Elle lâcha un petit gémissement sous cette prise bestiale. Il relâcha son étreinte et la regarda de la tête au pied. Puis il l'amena dans le salon.

« Mets toi à 4 pattes sur le canapé, cul vers moi. Et retrousse ta jupe. » Ces ordres finirent de la mettre à température. Elle le vit déboutonner son pantalon pendant qu'elle s’exécutait, lui dévoilant son petit cul dans un des strings qu'ils avaient achetés samedi. Il ne perdit pas de temps, l'attrapa par les hanches, écarta la dentelle et fourra sa queue en elle.

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Le gémissement de plaisir et de soulagement qu'elle échappa ne laissait aucun doute sur ce qu'elle ressentait. Il était bestial et la baisa directement sans retenue. Il l'attrapa par les cheveux et lui tira la tête en arrière.

« Alors, tu trouves toujours que tu ressembles à une femme d'affaire maintenant ? »

« Non Maitre ».

« Et tu es quoi donc ? »

« Une pute... votre pute... je suis votre chienne Maitre....... et j'aime... ça ». Sa réponse entrecoupée de gémissement de plaisir lui était venue naturellement.

« Parfait, tu sais ce que tu es. Tu as donc le droit de jouir. »

« Meeer.... ciii Maaaiiitttrrreee » Elle était heureuse qu'il l'autorise à jouir car elle sentait qu'elle allait venir rapidement. Il la défonça de plus en plus fort tel un animal et effectivement son orgasme ne mit que quelques minutes à la surpasser. Elle n'essaya pas de se retenir et hurla comme une folle, baisée en levrette, tirée par les cheveux. Il continua de la baiser puis, en la tirant violemment par les cheveux il la fit descendre du canapé et s'agenouiller devant Lui. Elle ouvrit la bouche en grand et il y enfourna sa bite. Elle le suçait avidement quand elle l'entendit dire :

« Enlève la veste et ouvre ton chemisier en grand. »

Précipitamment, en continuant de le sucer, elle obéit. Une fois son chemisier grand ouvert dévoilant sa magnifique poitrine galbée superbement par son soutien gorge en dentelle, il sortit de sa bouche.

Et en quelques secondes il se vida sur ses seins, déversant une belle quantité de foutre du bas de son cou jusqu'à la dentelle, recouvrant une bonne partie de ses seins. Une fois ses esprits retrouvés il lui dit d'étaler le sperme sur ses seins, ce qu'elle fit en souriant.

Ensuite, ils mangèrent tranquillement. Il lui ordonna de laisser son chemisier ouvert le temps que le sperme sèche. Ce qu'elle fit en imaginant ce qu'il avait en tête. Et elle avait vu juste. Il la ramena ensuite à temps à son travail. Il lui avait retiré son collier, mais son sperme sec sur ses seins était une marque suffisante du fait qu'elle lui appartenait. Et si le chemisier et le tailleur empêchaient tout le monde de le voir, eux le sauraient. Tout comme pour Marie et son Maitre...

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Jeudi 21 juillet 4 21 /07 /Juil 16:16

 

Le lendemain matin à 9 heures elle attendait dans le hall d'une grande entreprise locale. Son Maitre ne lui avait pas donné le nom de son interlocuteur alors elle avait donné le sien à l’accueil en espérant que cela suffirait.

Après quelques coups de téléphone, l’hôtesse d'accueil lui indiqua l’ascenseur et lui dit qu'elle était attendue au bureau 309, au dernier étage. Elle la remercia et monta à l'étage en question.

Une fois au troisième et dernier étage elle traversa un long couloir. Les bureaux étaient quasiment vide, certainement à cause des vacances. Le bureau 309 était au fond. Elle marchait tranquillement pour cacher son stress. Elle s'était noué les cheveux en chignon ce matin. Elle avait choisi un des tailleurs achetés la veille et qui une fois accompagné d'un chemisier n'était plus du tout sexy. Il faisait sérieux et féminin à la fois. Et les petites chaussures à talon qui allaient avec confirmaient cette image.

Une fois devant la porte elle toqua doucement. Une voix féminine lui répondit d'entrer. Elle était surprise, ne s'attendant pas à tomber sur une femme. Puis elle remarqua le nom sur la porte « Marie Breton ». Mais ça faciliterait peut être les choses se dit elle. Elle tourna la poignée et entra en prenant soin de refermer la porte derrière elle. Et elle se dirigea vers le grand bureau se trouvant au fond du bureau, dos aux fenêtres.

Et elle vit enfin son interlocutrice. Elle faillit s'arrêter en la voyant. C'était elle. Cette femme, cette soumise. Qui était passée à la chaîne il y a deux jours sur le capot de leur voiture. Cette femme qui juste vêtue d'un collier s'était faite remplir de sperme et avait joui en étant traitée comme cela. Elle était moins maquillée, moins sexy mais c'était elle. Aucun doute.

Ses longs cheveux blonds étaient attachés et elle ne portait qu'un maquillage léger aujourd'hui. Elle distingua la couleur de ses yeux, un vert profond et fut surprise de ne pas l'avoir remarqué vendredi soir. Elle portait un chemisier léger et féminin. Elle ne ressemblait plus à la chienne en chaleur qui s'était fait saillir contre le capot. Elle était une femme d'affaire sure d'elle.

Sans s'en apercevoir, elle la dévisageait et n'avançait plus.

« Approchez mademoiselle, ne soyez pas timide »

« Euh oui désolé. Bonjour »

Elle s'approcha et se rappela à l'instant qu'elle ne pouvait pas la reconnaître grâce à son loup ce qui la rasséréna.

« Bonjour, asseyez vous. »

Elle s'assit, faisant attention à ne pas la dévisager de nouveau.

« Alors, votre oncle m'a dit que vous cherchiez un petit boulot pour quelques semaines, c'est ça ? »

« Oui, exactement. » Elle faillit tiquer avant de comprendre que son Maitre s'était présenté comme son oncle afin de préserver son identité.

« Je cherche une secrétaire pour remplacer la mienne pendant les 3 prochaines semaines. Avez vous de l'expérience dans ce domaine ? »

« Non, je n'ai jamais tenu ce poste. Mais je connais les outils informatiques qui vont avec ce travail. »

« Vraiment ? Comment cela se fait il ? »

« Ma tante est secrétaire de direction et j'ai fait un stage avec elle il y a un an. Ça a duré un mois. Elle m'a montré ce qu'il fallait faire. »

« Bon, c'est pas mal effectivement. Et puis pour un délai aussi court je ne peux pas vous en demander trop. Je vous prends à l'essai jusqu'à demain soir. Si ça se passe bien vous signerez votre contrat mercredi matin. Un salaire au smic. Ça vous convient ? »

« Oui oui parfaitement. » Elle avait oublié qui était cette femme tellement elle se montrait sure d'elle et autoritaire en ce moment.

« Votre oncle m'a dit que vous étiez étudiante, c'est correct ? »

« Oui, en histoire. »

« Ça se passe bien ? »

« Oui très bien merci. »

Elle l'observa avec un air curieux, qu'elle n'arrivait pas à identifier puis elle reprit la parole.

« Vous pouvez commencer quand ? »

« Euh... quand vous voulez. »

« Très bien, j'ai besoin de vous dés ce matin alors. » Et elle se leva.

Claire la suivit tandis qu'elle se dirigeait vers une porte se trouvant à droite de la porte par laquelle elle était entrée. Elle l'ouvrit et elles entrèrent dans un bureau typiquement administratif.

« Voici votre bureau. Dans cette corbeille vous trouverez tout mon courrier le matin. A vous de faire le tri et de m'apporter les plis urgent. Le reste vous le mettrez sur mon bureau lors de la pause de midi. Pour ce qui est de mon emploi du temps, tout est sur informatique. Tout les soirs avant de partir je vous laisserai les cassettes enregistrées contenant le courrier à taper le lendemain. Vous devez également gérer les entrées dans mon bureau. Tout les visiteurs doivent se présenter à vous, vous me prévenez et ensuite vous les faites entrer quand je vous le dit. »

« D'accord. »

«  Concernant mon emploi du temps, je n'ai qu'une seule particularité que je gérerai moi même. Si une étoile rouge apparaît sur un créneau horaire c'est que je ne suis pas disponible. Et si vous voyez apparaître une étoile rouge sur un créneau où j'ai déjà quelque chose de prévu, vous décalerez les rendez vous en question. C'est compris ? »

« Oui, parfaitement » répondit elle. Elle se doutait de ce que signifiait cette « étoile rouge ». Et ça la fit frémir.

« Bien, je vous laisse vous familiariser avec votre poste de travail alors. Mon prochain rendez vous n'arrive que dans une heure. »

Et elle la laissa seule, refermant la porte reliant leur deux bureaux derrière elle. Claire s'assit et commença à s'installer. Elle alluma l'ordinateur et se prépara. Ce qui laissa errer son esprit. Le contraste était phénoménal entre celle qui était passée sur le capot et la femme qu'elle venait de rencontrer. Elle se demanda si son Maitre lui envoyait un message ou non....

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Mercredi 20 juillet 3 20 /07 /Juil 16:35

 

Elle s'endormit rapidement, à même le béton nu de cette cave. Le fait d'être attachée et bâillonnée l'avait moins dérangé que prévu. Les émotions l'avaient épuisée et elle était tombée de fatigue. Quand elle ouvrit les yeux elle était toute seule. Elle n'avait aucun moyen de savoir quelle heure il était. Le noir était total.

Heureusement, elle vit la porte s'ouvrir rapidement. Il alluma la lumière ce qui l'aveugla brièvement. Puis elle le vit distinctement. Elle réussi à s’asseoir pour l'accueillir.

« Bonjour Claire »

Sans un mot de plus il lui détacha les mains et lui enleva son bâillon.

« Bonjour Maitre »

« Lève toi et retourne toi. »

Elle le fit sans se faire prier. La peau de ses fesses lui tirait un peu mais elle ne ressentait aucune douleur. Il appuya sur son dos pour l'obliger à se pencher en avant et elle ferma les yeux, s'attendant à ce qu'il la prenne par les hanches et la pénètre. Cette image lui donna envie qu'il le fasse. Et que ça soit brutal.

Mais à sa plus grande surprise elle le sentit étaler la même lotion qu'hier soir sur ses fesses. Délicatement. Pour la soigner. Même si ses petites fesses étaient à peine rosée, la crème lui apportait un soulagement non négligeable. Une fois terminé, il lui tendit un long manteau.

« Mets ça. Nous remontons. »

Elle enfila le manteau et ils sortirent des caves. Ils retournèrent chez lui sans croiser personne. Une fois la porte de son appartement fermé derrière eux il lui enleva le manteau, la laissant nue, juste porteuse de son collier. Il glissa un doigt dans l'anneau du collier et la tira ainsi jusqu'à la chambre.

« Allonge toi et écarte les cuisses » lui dit il en désignant le lit du menton.

Elle obéit prestement, heureuse de l'idée qu'il allait enfin la prendre. Là encore, elle fut déçue.

« Masturbe toi. »

Elle le regarda interloquée et malgré sa déception elle s’exécutât. Ses doigts commencèrent à glisser entre ses cuisses et à atteindre sa petite fente à peine humide. Elle ferma les yeux, se rappelant ses meilleurs moments de plaisirs. Ils avaient tous un point commun : elle les avaient pris avec cet homme. Ou plus exactement, c'était lui qui lui avaient donnés.

Rapidement, sa petite chatte s'humidifia et la chaleur envahit son bas ventre. Elle ouvrit les yeux à plusieurs reprises pour voir qu'il avait sorti sa queue, qu'elle était bien raide. Elle avait envie de cette queue, elle voulait qu'il la défonce, qu'il lui rappelle qu'elle était à Lui, qu'elle était Sa chienne, Sa pute, Sa propriété, Son sac à sperme...

Le plaisir commençait à poindre. Son bas ventre se contractait et ses jambes s'ouvraient et se fermaient de manière incontrôlable. Elle s'apprêtait à jouir, les yeux fermés, prête à profiter de son plaisir. La gifle qu'elle reçut alors la stoppa.

« Arrête toi. Je ne t'ai pas autorisé à jouir. »

Elle se stoppa instantanément, retirant vivement ses mains de son bas ventre prêt à exploser. Il la regarda sans rien dire. Elle sentait l'envie que son corps lui donnait et elle voyait qu'il résistait contre une envie bestiale de la prendre. Ce silence dura plusieurs minutes. Son désir descendait, son bas ventre refroidissait. Elle ne savait pas quoi faire alors elle se contenta de ne rien faire.

Quand il la jugea assez refroidie il reprit la parole.

« Recommence. Et plus fort »

Elle ne se le fit pas dire deux fois et reprit là où elle s'était arrêtée. Ses doigts ne se contentèrent plus de jouer sur son bouton de plaisir. Ils s'introduisaient en elle. Rapidement, le plaisir revint et son corps recommença à perdre le contrôle. Et là encore, au bord de l'orgasme il l'arrêta.

Elle était très frustrée. Mais elle obéit. Et se mit à réfléchir. A ce qu'il voulait qu'elle comprenne. A ce qu'il lui avait dit hier. Il voulait quelle comprenne que sans son accord elle n'avait pas le droit de se masturber et de jouir. Elle le comprenait parfaitement maintenant. Et, une fois bien redescendue, quand il lui dit de recommencer, elle sut quoi faire.

Elle se masturba franchement, gémissant, se tordant sous l'introduction de ses doigts et leurs passages sur son clitoris. Elle sentait le plaisir revenir et alors elle ouvrit les yeux. En le regardant dans les yeux afin qu'il voit son état et sa frustration, elle retira d'elle même ses mains de son entre cuisses. Ses mains tremblaient tellement elle en avait envie, tellement elle avait envie de jouir. Mais elle tint bon et réussit à se calmer.

Elle le vit alors sourire, fier d'elle. Elle avait compris la leçon. Il s'approcha, l'embrassa à pleine bouche et lui passa les menottes en cuir aux poignets. Il attacha ses deux mains à la tête du lit et vint s'allonger à côté d'elle.

Et ce furent ses doigts à Lui qui glissèrent entre ses cuisses. Il commença à la caresser doucement puis de manière plus insistante. Le plaisir n'était pas très loin et il repointât son nez rapidement. Elle haletait la bouche grande ouverte entre deux gémissement quand il reprit la parole.

« Tu as compris ? Tu n'as pas le droit de te masturber sans mon accord. Tu n'as pas le droit de jouir si je ne t'y ai pas expressément autorisé. C'est compris Claire ? »

Elle ne put que souffler un « Ouuuiii » entre deux respiration en guise de réponse. Ses doigts étaient presque plus précis et plus agiles que les siens.

« Si tu veux te masturber, tu dois me le demander et si tu n'a pas mon accord tu ne dois rien faire. Et si je t'interdis de jouir quand je m'occupe de toi, tu dois te retenir. C'est compris ? »

Le « Ooouuuiii » qu'elle échappa fut plus fort que le précédent, signe que le plaisir était proche. Il retira alors ses doigts. Elle tourna les yeux vers Lui. Frustrée et suppliante. Elle n'osa pas lui dire quoi que ce soit. Elle était son jouet, elle l'avait accepté et elle devait se comporter comme tel.

Il la laissa comme ça pendant plus d'une demi heure sans la toucher pour qu'elle redescende complètement puis il recommença. S'arrêtant de nouveau juste avant qu'elle ne jouisse. Son plaisir montait de plus en plus vite à chaque fois. Il recommença ce petit jeu deux autres fois. Elle était à deux doigts de hurler la dernière fois. Quelques secondes de plus et elle n'aurait pas pu se retenir de crier son plaisir sous ses doigts.

Il la regarda en souriant, visiblement fier de lui. Et l'abandonna seule sur le lit, attachée. Le réveil lui appris qu'ils étaient en fin de matinée. Elle était chaude comme jamais. Elle était sure qu'elle allait jouir au prochain passage. Elle ne pourrait pas se retenir. Mais son attente fut longue. Il ne revint que 90 minutes plus tard. Elle était totalement refroidie. L'ennui s'était chargé de la calmer.

Quand elle le vit arriver le sexe sorti et bien raide elle ne sut pas à quoi s'attendre, tellement il avait joué avec elle. Il s'agenouilla alors entre ses deux cuisses ouvertes et elle comprit qu'il allait la prendre.

Elle lui sourit et tourna son bassin pour faciliter son entrée, heureuse de ce qui allait se passer.

« Je vais te baiser. Je t'interdis de jouir. Si tu sens le plaisir venir tu dois me prévenir. C'est compris ? »

« Oui Maitre » répondit elle alors qu'elle était totalement décontenancé par cette annonce. Comment allait elle faire ? Ses réflexions furent interrompues par son entrée en elle. Elle était encore assez humide pour qu'il glisse sans problème. Il ne s'était pas moqué d'elle : il la baisait d'entrée de jeu à grands coups de reins.

La sensation de sa queue glissant en elle, la défonçant, la limant sans retenue fit revenir le plaisir à vitesse grand V. Elle dut serrer les dents et imaginer autre chose pour s’empêcher de jouir sans avoir à lui dire qu'elle allait lâcher. Heureusement pour elle, il était très excité lui aussi et il lui fallut moins de 10 minutes pour remplir sa chatte de sperme dans un grand cri. Il se vida avec des derniers coups de reins puissant, lui remplissant la fente jusqu'au fond. Puis il sortit, vint mettre sa queue dans sa bouche et elle la nettoya consciencieusement.

Ensuite il détacha ses mains et l'amena doucement jusque dans le salon. Après une rapide collation, ils s'installèrent dans le canapé et passèrent l'après midi ainsi. Le soir tombait. Le week-end avait été d'une puissance inouïe. Elle avait pris son pied comme jamais, appris une nouvelle leçon sur sa vie de soumise, servie son Maitre comme il le désirait et où il le désirait.

Il venait de lui dire qu'il devait se lever tôt demain et elle comprit le message. Elle se leva et se rappela alors que sa robe, son seul vêtement avait été entièrement déchirée hier soir. Elle le regarda et il comprit.

« Ne bouges pas, j'ai tout prévu. »

Elle n'aurait pas du en douter se reprochât elle. Il pensait toujours à tout. Il revint rapidement avec des vêtements. Enfin deux morceaux de tissus plutôt se dit elle. Elle découvrit la mini jupe la plus courte qu'elle n'ait jamais vu et un haut très décolleté à fine bretelles. Elle les enfila rapidement. Il la regarda de la tête au pied et lui dit :

« Viens, tu vas te voir dans la glace. »

Il l'emmena dans la salle de bain devant la grande glace. Elle se découvrit dans cette tenue. La jupe était tellement courte qu'elle frôlait le bas de ses fesses. Si elle bougeait trop elle offrirait une vue sur son cul à tout les piétons. Et le haut était tellement décolleté qu'il s'arrêtait juste au dessus des tétons. En plus de s’arrêter au dessus du nombril, découvrant son petit ventre plat et ferme. Elle était plus qu’indécente dans cette tenue. Et à voir son sourire, il aimait ça.

« Tu te trouves comment ? »

Elle ne sut d'abord pas quoi répondre avant de dire la première chose qui lui venait à l'esprit :

« Comme une pute »

« Hmmm tant mieux. »

Il la saisit alors par les épaules et la forçat à se pencher sur le lavabo. Il n'eut même pas à retrousser sa jupe, elle remonta d'elle même au dessus de ses fesses. Il sortit prestement sa queue et l'enfila dans sa petite chatte d'un seul mouvement. Et il commença à la baiser. Il voyait ses seins ballotter dans la glace. Le haut était tellement décolleté que ses seins sortirent au premier coup de queue. Il l'agrippa par les cheveux tout en continuant à la défoncer et tira sa tête en arrière.

Ils se regardaient dans les yeux par la glace interposé. Il voyait son regard de salope heureuse et honteuse à la fois de l'image qu'elle renvoyait dans le miroir. Elle voyait son regard fier et heureux. Et elle lut son envie dans son visage. Il la ramonait fortement et le plaisir ne mit que peu de temps à revenir. Elle ne savait pas si elle pourrait le retenir ce coup-ci.

Il la baisait, penchée sur le lavabo, en profitant du spectacle que lui envoyait le miroir. Il lui dit alors :

« Maintenant tu as le droit de jouir. »

Elle ne pouvait rien répondre. Elle était tellement excitée qu'elle ne pouvait plus parler. Elle ne pouvait que gémir. En moins de 5 minutes elle eut un orgasme puissant. Et le second ne mit que quelques minutes supplémentaires à venir. Ses jambes tremblaient quand il jouit à son tour, remplissant de nouveau sa chatte de sperme chaud dans de violents coups de reins. Une fois vidé, elle s'agenouilla devant Lui et prit sa queue en bouche pour la nettoyer, ce qu'elle fit consciencieusement.

Puis il la releva, lui enleva son collier et lui souhaita une bonne soirée en lui rappelant son rendez vous de travail de lundi et en lui indiquant les deux sacs contenant les vêtements qu'ils avaient achetés ensemble.

Elle sortit donc dans les rues sombres, les bras chargés, vêtue d'une mini jupe qui découvrait son cul plus qu'il ne le cachait et d'un décolleté qui menaçait de faire sortir ses seins à chaque sursaut. Mais le seul détail qui l’intéressait elle, c'était son sperme qui coulait de sa fente et recouvrait l’intérieur de ses cuisses. Sa marque, la marque qu'elle lui appartenait. Un marquage invisible pour tous mais éternel pour elle....

Par recits-erotiques-soumission - Communauté : Soumissions féminines
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